Les Dessous de la télévision
« Télécratie » nf. [néologisme]
Gouvernement, pouvoir qui utilise intensément les moyens télévisuels pour sa propagande
Introduction
« Trop regarder TF1 rend stupide »
J’ai Un Doute Sur La Télé
Vidéo rapide reprenant les différents aspects de la télévision. [Contrairement à l’avis donné dans cette vidéo (à 3min26), nous ne conseillons pas de la garder, les bons documents étant trouvables par ailleurs].
Le côté occulte de la télé
(tube cathodique)
« C’est un physicien de haut rang nommé William Crookes, membre de la société secrète Golden Dawn et dirigeant de la société de recherches psychiques, qui inventa la pièce centrale de la télévision: le tube cathodique. Cet occultiste a inventé plusieurs dispositifs qui pouvaient interagir avec des minuscules particules élémentaires, tels que les électrons. Crookes était un amateur de spiritisme et croyait que les esprits et l’éther étaient capable de faire bouger les particules tels que les électrons et les protons. Il mis au point le tube cathodique à rayon, l’élément le plus important dans les téléviseurs (avant l’arrivée des écrans à plasma). Ce tube fonctionne en mitraillant des milliards d’électrons sur un écran de verre couvert de phosphore. Ces expérimentations innovantes produisaient une fluorescence floue et lumineuse sur l’écran en verre. En regardant l’image émanant du tube, Crookes réalisa que les esprits pouvaient d’une certaine façon être invoqués pour organiser ces particules en une forme d’image… il fit l’expérience en plaçant une croix de l’Ordre de Malte à l’intérieur du tube et en la bombarda d’un flux d’électrons. La croix de Malte est un emblème ancien, utilisé par les magiciens, kabbalistes, satanistes, nazis…. Crookes réussit alors à projeter une image sombre de l’autre côté du tube cathodique, ce qui fût la première image créée électriquement par l’homme. Dans son autobiographie, Crookes dit qu’il devait être possible aux esprits d’influencer de minuscules particules. Il allait devenir le président de la société pour la recherche psychique et inspira les recherches de Oliver Lodge sur l’éther et le monde des esprits. La version du tube cathodique de Crookes allait devenir l’élément fondamental pour le développement de la télévision inventée quarante ans plus tard par l’écossais John Logie Baird. La télévision, une invention qui allait en fin de compte soumettre et hypnotiser le monde entier, fût inspiré en partie par des recherches dans le monde des esprits… »
- Réplique moderne du dispositif de Crookes (courte vidéo)
- Comparaison du dispositif de Crookes avec les Lampes de Denderah, en Egypte :
Le Tube : Influence de l’écran sur le cerveau
Un film de Peter Entell
« La télé nous avachit, nous hypnotise, nous rend accro. Pourquoi ? Comment ? Est-ce volontaire ?
Un journaliste de télévision, père de famille, enquête au sujet des
effets du petit écran sur le cerveau humain. Ses recherches le mèneront
des studios Pokémon aux laboratoires de recherche sur les comportements
de la General Electrics, de la CIA aux spécialistes des médias comme
McLuhan père et fils.
Son but : découvrir ce que l’industrie de la télévision toute puissante nous cache de l’autre côté des écrans…
Des révélations étonnantes et peu connues ! »
Manipulation mentale et télévision :
les aveux d’un ancien directeur de recherche sur les publicités
« Extrait du film « Le Tube ou les
effets de la télévision sur le cerveau ». Les révélations du docteur
Krugman (ancien directeur de recherche sur la télévision et les pubs aux
US) sont inquiétantes ; son nom est d’ailleurs associé au
« brainwhashing » ou « lavage de cerveau ».
Il explique que la télévision ne nécessite
pas une attention active ou critique, et que les ondes de la réflexion
du cerveau disparaissent lorsqu’on visionne la télé.
Un responsable de l’ARS (fondation de la recherche sur les publicités) dit « qu’ils pourront bientôt détecter par la télévision la sensation de plaisir ou de dégoût des gens, mais que cela entre dans le domaine de la manipulation, de big brother » (je cite).
Le docteur Krugman avoue avoir embauché des « laveurs de cerveau » comme il les appelle, pour ses recherches, et que tout cela a été testé sur des prisonniers pendant la guerre de Corée.
Considérons que la télévision, plus que toute autre chose, est entre les mains de notre chère élite dirigeante, et qu’ils s’en servent comme d’une arme invisible. »
TV Lobotomie
La vérité scientifique sur les effets de la télévision
Livre et conférence de Michel Desmurget
« Pour les spécialistes, tel Michel Desmurget, il n’y a plus de doute :
la télévision est un fléau. Elle exerce une influence profondément
négative sur le développement intellectuel, les résultats scolaires, le
langage, l’attention, l’imagination, la créativité, la violence, le
sommeil, le tabagisme, l’alcoolisme, la sexualité, l’image du corps, le
comportement alimentaire, l’obésité et l’espérance de vie. »
« Sophie, 2 ans, regarde la télé 1 heure par jour : cela double ses chances de présenter des troubles attentionnels.
Kevin, 4 ans, regarde des programmes jeunesse violents : cela quadruple
ses chances de présenter des troubles du comportement à l’école
primaire.
Lina, 15 ans, regarde des séries comme Desperate Housewives : cela
triple ses chances de connaître une grossesse précoce non désirée.
Entre 40 et 60 ans, Yves a regardé la télé 1 heure par jour : cela
augmente d’un tiers ses chances de développer la maladie d’Alzheimer.
Henri, 60 ans, regarde la télé 4 heures par jour. René, son jumeau,
moitié moins. Henri a deux fois plus de chances de mourir d’un infarctus
que René.
Pour les spécialistes, il n’y a plus de doute, la télévision est un
fléau. Son influence négative nous coûte en moyenne trois ans de vie. »
Bernard Stiegler : « Télécratie et captation du désir »
« Bernard Stiegler est un penseur original et ses opinions politiques personnelles sont parfois un peu déroutantes. Il a pour but de montrer comment et pourquoi la relation politique elle-même est devenue un marché parce que l’appareil télécratique a « développé un populisme industriel qui engendre, à droite comme à gauche, une politique pulsionnelle qui a détruit le désir. » »
« En Europe, entre un tiers et deux tiers des enfants ont désormais la télévision dans leur chambre (les trois-quarts dans les milieux défavorisés en Angleterre). Aux États-Unis, dès l’âge de trois mois, 40% des bébés regardent régulièrement la télévision.
Les consommateurs de la télécratie sont ainsi, et se sentent, irrémédiablement tirés vers le bas, ce qui provoque une réelle souffrance. Ils souffrent d’être seuls devant leur télé, tout en ayant le sentiment d’appartenir à une « foule artificielle d’où surgissent des processus d’identification régressive. »
En 2004, Patrick Le Lay, ancien
directeur de TF1 expliquait que le populisme industriel était devenu la
loi de notre époque, les citoyens s’étant effacés devant « le temps de cerveau disponible ».
Court-circuités en tant que représentants
d’organisations sociales par le temps réel et le direct des médias de
masse (ce qui les conduit à produire une pensée sous forme de slogans,
par exemple), les représentants politiques ont tendance à
court-circuiter à leur tour les organisations politiques qui les ont
mandatées.
Les présidentiables, nous dit Stiegler, recherchent les faveurs du quatrième pouvoir, en osmose désormais totale avec le pouvoir industriel et capitalistique, en « faisant de la télé-réalité politique, cultivant leurs personnages et leurs discours dans le sens de ce qui détruit l’opinion et avec elle la démocratie. Le peuple n’existe plus : il est remplacé par une population en attente de spectacles. »
C’est parce que les liens sociaux ont été détruits par la télécratie que la répression est vouée à proliférer. Les politiques ne traitant jamais les causes des comportements déviants “ barbares ” (y compris ceux des patrons voyous) mais leurs effets.
Les blogs des politiques sont des simulacres qui imposent des modalités de fonctionnement inspirées des techniques de communication mises en œuvre par les industries de programmes. Ces blogs ne proposent pas des programmes politiques (on utilise désormais le mot “ logiciel ” en lieu et place de programme), mais des réponses individualisées. Ce qui renforce tous les communautarismes, pas seulement ceux spécifiquement “ ethniques ”. La défense de la consommation, du “ pouvoir d’achat ” devient alors le commencement et la fin de la “ politique”.
Le marché, explique Stiegler, est désormais « l’unique horizon de toute identification collective ». La commercialisation (le marketing, pour parler la langue du dollar) crée du manque qu’il comble par un autre manque, ce qui débouche sur une consommation addictive, y compris pour la politique passée par le tamis de la télécratie. Tous les « segments de l’existence humaine » sont devenus des marchés. Les politiques ont intériorisé cet état de fait en ne voyant pas que leur « impuissance publique » n’était que la traduction de leur impuissance (acceptée) politique.
Cette télécratie est le corollaire super-structurel de la société de marché, cette société qui, bien sûr, creuse les inégalités et qui, selon l’auteur, « pose comme principe fondamental que l’individu se fait par le marché ». Stiegler dénonce, dans ce contexte, « l’explosion de l’espace et du temps publics ».
Le consommateur, qui n’est pas un citoyen, n’a plus aucune prise sur ce qu’il utilise : transports privatisés, nourriture industrielle, thérapies géniques, services médicaux etc. Il tend à ne plus y avoir, prévient Stiegler, d’action publique.
Les privatisations (sans parler des délocalisations) renforcent la division industrielle du travail. Étant progressivement dépossédé de la responsabilité de son savoir, le travailleur n’est plus un ouvrier qui « ouvre le monde ». L’objet lui échappe en tant que sa fabrication. »
Le Temps De Cerveau Disponible
« Cruauté, violences psychologiques et sexuelles, humiliations : la téléréalité semble devenue folle. Son arrivée au début des années 2000 ouvrait une nouvelle ère dans l’histoire de l’audiovisuel. Cinquante ans d’archives retracent l’évolution du divertissement : comment la mise en scène de l’intime, dans les années 80, a ouvert un nouveau champ, comment la privatisation des plus grandes chaînes a modifié le rapport au téléspectateur. A l’aide de spécialistes, dont le philosophe Bernard Stiegler, ce documentaire démontre comment l’émotion a fait place à l’exacerbation des pulsions les plus destructrices. »
« La télévision dévoreuse d’âmes »
Approches scientifique ET ésotérique.
« La télévision n’est pas une innovation technique fortuite. Elle a été
inventée dans un but très précis. En ce début du XXIe siècle, elle
touche des milliards d’êtres humains pour lesquels, d’un avis unanime,
la vie sans la télévision serait insupportable et impensable.
Abandonnez la naïve croyance que l’ingéniosité qui l’a fait naître ne
serait que technique, qu’il n’y a pas à son origine des « cerveaux »
beaucoup plus évolués et un « plan » bien élaboré. Au contraire, comme
nous nous en rendrons compte bientôt, un « esprit supérieur » a été — et
est encore — actif en ce domaine, se chargeant de planifier avec soin
ce progrès technique étonnant afin de prendre le contrôle total des
masses.
La
télévision n’est pas apparue soudainement, comme ex nihilo. Il faut la
voir en perspective. Elle est associée à un grand nombre d’inventions :
la radio, le cinéma, le télégraphe et le téléphone, le radar,
l’enregistrement magnétique, etc. Mais la télévision est le point
culminant absolu, l’invention supérieure capable de capter l’attention
et l’intérêt à titre constant, c’est-à-dire l’esprit et les désirs de
milliards de gens. C’est l’invention la plus hypnotique, la plus importune, la plus puissante et par conséquent la plus dangereuse de toutes. C’est pourquoi face à la télévision, il faut prendre une attitude ferme, sinon c’est elle qui décide pour vous.
Selon une enquête, il y aurait environ un million de personnes qui s’abstiennent volontairement de télévision en France.
Mais lorsque l’habitude est prise, il est difficile de revenir en
arrière à cause de la pression familiale et sociale. Une fois que le
diable est dans la maison, nous savons que la lutte est inégale, et que
les enfants en sont les premières victimes.
La situation semble irréversible car le risque d’exposition est
multiple. Ainsi, lorsque, par miracle, vous n’avez pas la télévision
chez vous, vous êtes environné de voisins dont les postes marchent à
plein volume ; vous êtes entouré par des milliers d’émetteurs à grande
puissance, par les pylônes des antennes émettrices en modulation
d’amplitude ou de fréquence, par des stations de radar, des faisceaux
hertziens pour communications par satellites, par les bornes pour
téléphones mobiles, etc. D’autre part, celui qui ne regarde pas la
télévision, passe malgré tout une partie de son temps devant un écran
cathodique d’ordinateur. Nul ou presque n’y échappe.
Bien que leurs effets soient assez sérieux, on ne saurait s’arrêter à
ceux du rayonnement seul, car il existe d’autres influences qu’il faut
aussi étudier.
Le tableau d’ensemble d’une telle étude montre une dégénérescence totale
et rapide de toute vie humaine sur cette planète, dans une mesure telle
que ce qu’on appelle « la vie » deviendra bientôt impossible sous la
forme que nous avons connue.
Qu’est-ce que la télévision ?
Techniquement, la télévision est l’émission d’images visuelles sous
forme d’ondes électromagnétiques, puis la reconversion en images
visuelles des ondes reçues.
C’est en 1884 que l’inventeur germano-russe Paul Nipkow fit breveter un
dispositif de transmission d’images : le disque analyseur. C’était un
volant perforé, tournant rapidement, au moyen duquel une scène éclairée
était décomposée en points lumineux et sombres. La série de points de
lumière ainsi obtenue était convertie en signaux électriques et
télégraphiée vers un récepteur. Les impulsions d’entrée étaient
reconverties en points lumineux et sombres, à partir desquels l’image
d’origine était alors, plus ou moins précisément reproduite à l’aide
d’un disque identique, synchronisé sur le premier.
Le dispositif de Nipkow était primitif, mais la méthode sous-jacente de
la « télévision » n’a jamais changé : les images sont toujours
décomposées en points lumineux et sombres — pensez à la structure
granulaire qui peut être remarquée sur des photographies très agrandies.
Il a fallu attendre 1923 pour obtenir des images de haute qualité, grâce
à un américain né en Russie, Vladimir Zworykin, qui déposa une demande
de brevet pour son « iconoscope », prototype du tube cathodique de la
télévision moderne. Le disque analyseur avait été remplacé par un canon à électrons, source de danger immédiat, comme nous le verrons.
Aux Etats-Unis, le premier service de télévision régulier vit le jour
dans l’après-midi du 30 avril 1939, à l’occasion de l’ouverture de
l’Exposition Mondiale de New York dont le thème était : « Le Monde de
Demain ». Les loges secrètes qui avaient
tout organisé entendaient ainsi donner le coup d’envoi à une culture
mondiale basée sur le contrôle des populations par l’image.
La
National Broadcasting Company (NBC), sous les auspices de la Radio
Corporation of America, diffusait les cérémonies à titre de
démonstration. En quelques jours les gens commencèrent à s’aligner par
milliers pour voir les démonstrations du nouvel appareil miracle. La
fascination de l’humanité pour la télévision avait commencé.
Après la guerre, la télévision devint rapidement une affaire mondiale.
L’ère de la télévision amorcée à l’Exposition Mondiale de 1939 semblait
partie à l’attaque, tambour battant et drapeaux au vent. Rien ni
personne ne pourrait plus l’arrêter.
Après des milliers d’années de civilisation
en évolution lente, l’humanité, lorsqu’elle pénétra dans l’ère de la
télévision, modifia complètement ses coutumes en une décennie ou deux
seulement. La vie, soudainement, ne semble plus être autre chose qu’un
loisir de masse et les gens commencent par rester chez eux pour prendre
leur repas-télé devant le tube-écran.
Il n’a pas fallu attendre longtemps pour que des parades publicitaires impitoyables se mettent à claironner la doctrine de la « consommation ».
Qui plus est, de nombreuses nations sont en cours de conditionnement
par une programmation et une censure de la télévision contrôlées par le
gouvernement — moyen efficace s’il en est d’injecter sans cesse aux
masses des idéologies asservissantes.
La télévision est l’APPAREIL DU POUVOIR, du pouvoir sur les sentiments, sur les pensées, les désirs, la volonté, les esprits, de quasiment tout le monde.
Que sont, qui sont les « forces » qui détiennent ce pouvoir ? Nous devons trouver la réponse à cette question.
Le mystère de la lumière
La lumière est l’un des dons les plus précieux qui soient accordés à cette planète par le soleil. Depuis des millions d’années, celui-ci fournit l’énergie lumineuse et thermique sans laquelle la vie ne serait pas possible. L’on pense que la plus grande partie de cette fantastique énergie va se perdre dans l’incommensurable espace de l’univers. Mais cette croyance populaire est erronée car, dans la création divine, pas même une once d’énergie n’est gaspillée ; tout est mis à contribution pour l’évolution de myriades d’entités se trouvant dans le corps solaire cosmique, lequel entre en interaction avec de nombreux systèmes solaires du macrocosme.
Des Hiérarchies Spirituelles sublimes fonctionnent avec les Energies
Divines — appelées collectivement FOHAT dans la doctrine ésotérique
universelle. L’énergie électromagnétique de Fohat est donc, dans sa plus
haute manifestation, l’amour divin. L’un de ses aspects les moins
évolués est connu sous l’appellation « électricité ». Avez-vous déjà
pris une décharge électrique ? Vous aurez alors une vague impression de
l’invincible puissance de Fohat.
Quel est le rapport avec la télévision ? Il faut voir les choses sous leur véritable perspective. Considérez la télévision comme un phénomène typique de notre société technocratique pseudo-omnisciente qui est une menace terrible pour l’homme lui-même, ainsi que pour son environnement cosmique, car les champions du monde scientifique sont en train de se livrer à des expériences avec les diverses formes d’énergie de Fohat d’une manière tout à fait irresponsable.
L’homme pourrait avoir accès à la divine félicité de Fohat — le Monde de
la Lumière de Dieu — grâce à la transformation spirituelle de son être.
Mais que préfère-t-il choisir ? Il préfère suivre son pénible sentier à
travers l’obscurité de son ignorance et de sa haine, ce qui conduit
inévitablement au résultat que la Lumière de Fohat le brûlera sous forme
de « chaleur ». C’est ainsi que dans les mythes, Fohat devient un feu
de jugement. Et selon certaines prophéties, c’est par le FEU — comme il
est dit dans le Livre de l’Apocalypse — que cet actuel cycle de
manifestation se terminera. C’est, en même temps, par le Feu que les «
appelés » et les « élus » pourront gagner l’immortalité comme le phénix
qui renaît de ses cendres.
L’Ere du Verseau déverse à nouveau la Lumière de Fohat sous forme de
radiations qu’on appelle les « eaux vives ». Mais, au lieu de se
transformer intérieurement en sublimant son système atomique individuel,
l’homme a soulevé le voile de l’atome physique et a réussi, dans une
imitation grotesque, à libérer « l’esprit contenu dans la bouteille »,
le répugnant pouvoir de la fission nucléaire.
L’humanité doit suivre une voie de développement positive ou négative. C’est la régénération ou la dégénérescence — il n’y a pas d’autre choix, pas de moyen terme. Mais ce que nous voyons se développer aujourd’hui à travers la science matérialiste est une réaction négative mise en place par des forces dirigeantes, mues par une auto-conservation aveugle.
Elles tentent de contrer l’évolution spirituelle régulière par une
parodie infernale. Il ne peut en résulter qu’une tragédie que les plus
nobles conducteurs de l’humanité ne seront pas en mesure d’écarter.
Einstein était bien près de reconnaître la destinée fatale et inévitable
de l’actuel ordre des choses lorsqu’il concluait : « Chaque étape
semble être la conséquence inévitable de la précédente ». C’est dans
cette perspective que nous allons considérer la télévision.
Les Rayonnements
La télévision est l’une des merveilles de l’électronique, cette science
de l’utilisation des électrons. Ces derniers sont de petites particules
chargées d’électricité.
Les électrons associés à un atome ressemblent à de minuscules planètes
tournant autour du « soleil » qui est le noyau de l’atome en question.
Les atomes sont les pierres de construction de la matière. Ce qu’il est
important de retenir, c’est que la matière n’est pas seulement physique
mais qu’il existe aussi une matière éthérique, astrale et mentale.
Un deuxième point à retenir également est que les matières physique,
éthérique, astrale et mentale sont très étroitement liées et
s’influencent réciproquement sans cesse. Aucun phénomène physique n’a
lieu sans conséquences sur les plans éthérique, astral, et mental.
Expérimentant dans l’ignorance totale de ces aspects, le savant et
l’ingénieur présentent toujours un danger latent.
Dans certaines conditions, un atome peut perdre un ou plusieurs de ses
électrons planétaires. On dit alors qu’il est ionisé. Il est devenu un
ion positif, chargé d’une ou plusieurs charges positives. Les électrons
qui ont échappé à l’attraction d’un noyau atomique sont appelés des «
électrons libres ». Ce sont eux qui sont responsables du courant
électrique parcourant un fil conducteur ou suivant une trajectoire dans
le vide, donnant ainsi naissance à un champ électrique et magnétique.
L’espace est rempli de rayonnements de natures fort diverses. Il y a des
rayonnements corpusculaires, formés par des protons, par des neutrons,
par des électrons, et aussi des rayonnements électromagnétiques qui,
eux, se propagent à la vitesse de la lumière, étant eux-mêmes les
constituants de la lumière. Ces rayonnements sont classés suivant leur
fréquence, inversement proportionnelle à leur longueur d’onde. Ces
rayonnements électromagnétiques sont formés de particules sans masse
appelées « photons » et dont l’énergie est proportionnelle à la
fréquence.
Allant dans le sens des fréquences croissantes, nous avons d’abord les
basses fréquences (correspondant aux longues ondes de la radio), puis
les fréquences moyennes (ondes moyennes de la radio), puis les
fréquences comprises entre 3 et 30 mégahertz (ondes courtes de la
radio), puis les fréquences entre 30 et 300 mégahertz (ondes
ultracourtes utilisées en télévision et radio), puis les fréquences
comprises entre 300 et 3000 mégahertz (soit entre 100 cm et 10 cm de
longueur d’onde : les micro-ondes des radars, des fours à micro-ondes,
etc.). Vient ensuite l’immense gamme des rayons infrarouges, puis les
ultraviolets, et enfin les rayons X mous, puis les rayons X durs, et les
rayons Gamma qui sont émis par les noyaux atomiques ou qui sont l’une
des nombreuses composantes des rayons cosmiques.
Le tube-écran d’un téléviseur est construit
sur le principe d’un canon à particules qui projette des électrons en
faisceau concentré sur l’écran.
La face interne de l’écran est couverte d’un réseau de quelques milliers
de points dont la fluorescence peut être excitée dans les trois
couleurs de base de la TV en couleur. Chaque fois que le faisceau
d’électrons frappe l’un de ces points, celui-ci émet une lumière
d’autant plus intense que le faisceau est intense.
En s’arrangeant pour que le faisceau balaie
l’écran, exactement comme on lit une page d’un livre ligne après ligne,
et en faisant en même temps varier l’intensité, les points luisent avec
plus ou moins de luminosité, ce qui crée l’illusion de l’image.
La répétition rapide de ce processus, y compris des changements progressifs dans l’image, suggère le mouvement. Des signaux acoustiques apportent la sonorisation.
Tout en regardant la TV, on se fait donc injecter de l’énergie
rayonnante, non pas sous la forme de la lumière naturelle ambiante,
provenant du soleil, mais avec cette « lumière de la télévision » bien caractéristique, toute artificielle, projetée dans une intention bien précise.
Elle est projetée sur le spectateur par l’écran fluorescent au moyen du
canon à électrons littéralement pointé vers la personne se trouvant
devant le poste de TV.
Cette énergie pénètre le spectateur et
affecte les glandes endocrines, ainsi que les subtils organes éthériques
qui jouent un rôle si crucial dans le développement et l’éveil
spirituel.
La lumière solaire naturelle est constituée d’un mélange particulier de
rayonnements électromagnétiques de diverses longueurs d’ondes, qui
comprennent la lumière visible allant de 400 nm (violet) à 800 nm
(rouge) (ou 4000 à 8000 angströms) et des rayonnements infrarouges et
ultraviolets, ainsi que des micro-ondes centimétriques, etc. Les
proportions de ce mélange sont modifiées par l’action de l’atmosphère —
au demeurant fortement endommagée — jouant le rôle de filtre sélectif,
et ce que nous recevons au sol est la combinaison appropriée pour la
croissance et la protection de toute vie sur terre.
La lumière artificielle issue d’une autre
source envoie des ensembles de longueurs d’ondes entièrement différents,
ce qui peut être suffisant pour créer des problèmes.
La lumière est une nourriture pour les cellules. La nature met ses
enfants à un régime de lumière bien équilibré. Chaque fois que le régime
est modifié, comme dans le cas de la lumière artificielle, certaines
altérations des cellules se produisent, entraînant une détérioration du
corps humain et de ses organes spirituels.
L’Histoire a prouvé que les experts se sont toujours trompés dans leurs
évaluations de la quantité de rayonnements que l’on suppose nocive pour
l’homme.
Les effets des rayonnements sur l’homme sont mesurés en rems (Roentgen Equivalent for Man) ou en millirems (millièmes de rems). On
estimait en 1950 qu’il fallait 1000 rems ou plus pour causer le cancer
de l’embryon. En 1955, on estimait que 200 rems étaient une valeur plus
proche de la réalité. Aujourd’hui, certains pensent que 2 rems suffisent
!
Dans les années soixante, les postes de TV
étaient considérés comme « sûrs » lorsqu’ils émettaient 50 millirems par
heure. En 1980, la limite de la tolérance fut ramenée au centième de
cette grandeur : 0,5 millirems par heure. Et ainsi de suite.
On entend souvent des remarques telles que : « Ce n’est pas si nocif, et d’ailleurs, je ne m’assieds pas trop près ».
Considérez d’abord que la majorité des gens ne croit que ce qu’elle
désire croire. C’est bien connu. En deuxième lieu, on ne se rend pas
suffisamment compte du fait qu’une fois que le rayon X a pénétré dans le
corps, il est absorbé par les cellules, au prix d’une détérioration de
celles-ci. Les effets ainsi produits sont cumulatifs.
En d’autres termes, en trois ans de télévision à raison de 4 heures par
jour en moyenne, on absorbera 2 rems, soit assez pour entraîner
théoriquement le cancer de l’embryon. Et pourtant, il y a des millions
de mères qui pensent — mais pensent-elles ? — qu’elles font à leurs
petits une grande faveur en les mettant en face de l’écran cathodique.
Est-ce aller trop loin que de conclure que TOUTE quantité de rayons X
émanant de postes de télévision est susceptible d’être nuisible pour
l’homme ?
Beaucoup de gens sont devenus si drogués
ou si obscurcis qu’ils tentent de justifier leur attitude en disant : «
Un examen radiologique est pire », ou encore : « Il y a, de toute
façon, tellement de rayonnements ambiants », et autres maximes de cet
acabit.
Cela est aussi logique que de dire : « Vous me dites que mon enfant est
en train de se noyer ! Quelle importance ? Trois de mes enfants se sont
déjà noyés ! »
Il faut bien admettre que ce n’est pas seulement la télévision qu’il
faut incriminer, car les expositions aux rayonnements sont nombreuses.
Mais cela ne la rend pas pour autant plus acceptable.
Aujourd’hui, des groupes demandent instamment : « Halte à la pollution de l’eau et de l’air ! ». Demain, ils sont susceptibles d’exiger : « Halte à la pollution électromagnétique ! » ou « Arrêtez de polluer nos âmes et nos esprits ! ». Mais comme cela va croissant, il sera alors trop tard.
Les effets photo-biologiques
Nous avons étudié certains effets nuisibles du rayonnement des postes de
télévision sur le système humain. Il est possible que d’autres
techniques surgissent, permettant une élimination totale du rayonnement
cathodique. On met du temps à généraliser les écrans à cristaux, sans
doute pour continuer à favoriser le tube cathodique.
Aujourd’hui l’exposition au rayonnement reste très réelle, et cela volontairement. Ce qui est encore plus préoccupant, c’est l’endommagement irréparable de nos organes les plus subtils tels que les couches optiques, l’épiphyse (glande pinéale) et l’hypophyse (glande pituitaire) qui sont appelées à accomplir des fonctions fondamentales dans le développement spirituel d’un individu.
Ces remarquables organes réagissent à toute lumière reçue par la rétine de l’œil. On estime généralement que l’œil n’a qu’une seule fonction : la vue. Mais la fonction des yeux, en liaison organique avec l’épiphyse et l’hypophyse est triple :
-
L’interprétation de l’énergie lumineuse sous forme d’images par les circuits conduisant au cerveau (perception visuelle ou processus de la vue) ;
-
L’assimilation de l’énergie lumineuse par les voies neurochimiques et son acheminement vers les glandes pinéales et pituitaires et, de là, dans l’ensemble du système endocrinien (ingestion de la lumière ou photosynthèse) ;
-
Enfin, l’expression de la réalité de l’âme. L’œil est appelé « le miroir de l’âme ».
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