Et si la Bible disait la vérité ?
Aujourd’hui, avec les nouvelles
découvertes archéologiques et les progrès de la recherche tous azimuts,
une nouvelle conception se fait jour chez les savants.
Confirmation archéologique
à la lueur de récents travaux,
scientifiques internationale, (et du CNRS), il apparaît que la Bible est
beaucoup plus exacte qu’on le croyait, du moins pour qui sait la
déchiffrer correctement. Des recherches intenses archéologiques
conduites de 1948 à 1998 en territoire hébreu prouvent son authenticité
historique.
Soucieux d’affirmer leur identité et
surtout leurs droits imprescriptibles (sur cette terre), les Israéliens
ont été pris en effet d’une véritable frénésie archéologique. Le général
Moshe Dayan, mort depuis 27 ans a ainsi passé toute sa vie à effectuer
des fouilles en se guidant d’après la Bible…
En trente ans, les trouvailles se sont
multipliées et l’on commence à savoir avec précision ce qu’était la vie
en ces terres voici plusieurs millénaires. Chaque découverte confirme ce
qui est écrit dans la Bible. Ainsi, a-t-on récemment exhumé les restes
de la Jérusalem bâtie par le roi David qui régna de 1010 à 970 (environ
?) avant notre ère. On croyait sa cité quasiment mythique, ne
connaissant que les ruines du fameux temple de Salomon et la partie de
la ville de l’époque d’Hérode, contemporain du Christ.
En outre, dans le reste du pays,
l’historien Aharoni a pu faire le relevé de trois cent soixante villes
identifiables à l’époque royale sur les quatre cent soixante-quinze dont
la Bible cite les noms à de nombreuses reprises.
Exactitude historique, donc, en ce qui
concerne les lieux et les hommes dont, par ailleurs, on retrouve
largement trace dans les textes des civilisations voisines, de l’Egypte à
la Babylonie.
Mais que faut-il penser des événements
eux-mêmes, surtout lorsqu’ils prennent un caractère d’épopée comme la
destruction apocalyptique de Sodome et Gomorrhe, la prise de Jéricho ou
l’épisode curieux de la tour de Babel ?
Confirmation des évènements
Un historien allemand qui fut très
connu, à sont époque, Werner Keller, a publié une thèse à ce sujet. Pour
Werner Keller, tout ce que l’on croyait être légendes et récits
mythiques est au contraire absolument exact. Les dernières découvertes
de 1998 le démontrent. L’auteur pense même que nous n’avons pas fini
d’être étonnés par la précision historique de ce grand texte.
– Alors l’Eternel, nous dit la Genèse
(XIX, 24), fit pleuvoir du ciel sur Sodome et Gomorrhe, du soufre et du
feu de par l’Eternel, il détruisit ces villes, toute la plaine et tous
les habitants des villes, et toutes les plantes de cette terre.
Les historiens ont longtemps pensé que
les deux cités maudites n’existaient pas ou bien n’étaient que deux
bourgades accidentellement détruites par un cataclysme naturel que
l’esprit religieux de l’époque avait attribué à une hypothétique colère
divine. Or, Keller démontre qu’il s’est effectivement passé quelque
chose des plus étrange dans le coin de la mer Morte où se situaient les
deux villes.
Il cite à l’appui de cela les travaux
des deux archéologues italiens, Paulo Matthias et Giovanni Pettinato.
Ces derniers ont découvert des tablettes d’argile qui mentionnent le nom
des deux cités et la catastrophe. Déluge de soufre et de feu, éruptions
volcaniques ou quelque chose d’autre… comme une intervention
extraterrestre. Et que penser de la radioactivité importante dans cette
zone ? Il semble qu’à Sodome et Gomorrhe se soit produit une curieuse et
terrible explosion qui nous incite à imaginer l’utilisation d’une
technologie peu compatible avec l’image que nous avons de l’Antiquité
lointaine. Quelle était donc cette arme singulière dont le secret
aujourd’hui perdu appartenait alors au mystérieux peuple des anges (qui a
averti Lot et sa famille de la menace qui pesait sur la ville). Nous ne
saurons sans doute jamais ce qui s’est passé exactement, mais
d’étranges traces de la “colère divine” demeurent dans les sites
archéologiques du Jourdain où l’on croit avoir découvert les vestiges
des malheureuses cités.
Keller cite ensuite la miraculeuse
destruction de Jéricho. Les Hébreux de Josué auraient abattu les murs de
la ville avec des cris et le son de trompettes sacrées.
L’archéologie a prouvé que les fameux
murs de Jéricho existaient bel et bien et qu’ils ont sans doute été
détruits de curieuse façon.
L’historienne britannique Kathleen
Kenyon a effectué sur place des fouilles significatives qui ont permis
d’exhumer les fortifications de la cité biblique. La question qui s’est
alors posée aux chercheurs a été de comprendre comment de telles
fortifications avaient bien pu être détruites. Toutes hypothèses
examinées, force a été de conclure qu’il fallait peut-être accorder foi
au récit du livre de Josué. Les Hébreux auraient donc bien abattu les
murs en émettant avec leurs “trompettes” certaines fréquences
d’infrasons, amplifiées par la mystérieuse Arche d’Alliance. (Les
infrasons et ultrasons sont utilisés actuellement pour la destruction
des calculs rénaux, et aussi dans des armes secrètes pour provoquer des
arrêts cardiaques et des hémorragies cérébrales à distance.)
De toute évidence, l’Arche d’Alliance
devait être une sorte de générateur de forces inconnues et terribles.
Nous en avons d’ailleurs la preuve dans d’autres passages du texte. Uzza
fut frappé à mort parce qu’il la toucha simplement, et les habitants de
Beth-Schémesch furent mystérieusement châtiés pour avoir voulu regarder
à l’intérieur.
Rappelons encore les immenses pouvoirs qu’elle conférait à Moïse ou à David.
Ainsi, à Jéricho furent mis en œuvre les
pouvoirs secrets du son. La science actuelle découvre ou redécouvre ces
pouvoirs de nos jours.
Il semblerait qu’ils aient été
couramment utilisés dans l’Antiquité indienne, égyptienne ou grecque.
Alors d’où nos lointains ancêtres tenaient-ils cette technologie ?
Force est d’admettre qu’à chaque fois,
ces connaissances furent placées entre les mains des hommes par des
Dieux venus du ciel ; des extraterrestres. Cette version de l’histoire
humaine est si tenace qu’on l’a retrouve invariablement au cœur de
toutes les cultures du monde. Cela devrait faire réfléchir les
sceptiques, non ?… Spielberg ne tient pas un autre propos dans le
dernier volet d’Indiana Jones. C’est seulement pour ne pas froisser les
susceptibilités religieuses qu’il choisit de parler de crânes de cristal
et qu’il évite de baser son film sur un vestige biblique comme ce fut
le cas avec l’Arche d’Alliance dans le premier volet. Il faut dire que
là, dans l’ultime volet, son discours est limpide et sans équivoque :
les Dieux sont des Extraterrestres… sous-entendu tous les Dieux, même
ceux des religions monothéistes… Le grand public fera-t-il le
rapprochement, verra-t-il le raccourci, le lien entre le premier volet
et le dernier ?… tout porte à croire que leur réflexion n’ira pas
jusque-là. Trop vert encore ?… C’est du moins ce que doit penser
Spielberg qui n’a pas osé aller jusqu’au bout de son message. Reste
pourtant que tout est clair comme de l’eau de roche.
La course à la technologie des Dieux
Si la Bible dit vrai, pourquoi n’en
serait-il pas de même des autres mythes parlant de continents engloutis
dont les peuples auraient maîtrisé des forces à la fois simples et
terrifiantes. Les historiens nazis ont cherché la clé de ces mystères à
travers le monde. Après eux, les spécialistes russes qui avaient eu
accès aux dossiers secrets du IIIème Reich, se sont lancés dans la
course.
On ignore tout de ce qui a pu être
découvert par les uns ou les autres. Notons simplement au passage que
les Russes multiplient depuis trente ans, les expériences en matière de
sonorités étranges et qu’ils ont mis au point certaines armes uniquement
basées sur les fréquences qui ont abattu les murs de Jéricho.
En France, dans les années 70, un
scientifique, le professeur Gavreau, mit au point dans ses laboratoires
de Marseille, un canon sonore aux terrifiants effets sur l’homme comme
sur tous les matériaux. Ses recherches furent interrompues par décision
spéciale, mais que sont devenus les secrets de cette arme ?
Conclusion
Il se peut que nous ne sachions pas
encore lire la Bible et avec elle les autres textes sacrés fondamentaux
de l’histoire des hommes. Ils sont historiquement exacts, du moins quand
on possède les clés pour les décrypter. Alors, pourquoi ne pas penser
que s’y trouvent dissimulés quelque part les secrets de ces sciences
perdues.
Dans sa thèse la “Musique de la Bible
révélée”, S. Haïk Ventours a découvert que le graphisme même des versets
hébraïques traditionnels recelait une notation oubliée.
(Les Templiers utilisaient la Musique comme codage secret pour les initiations).
Musicienne avant tout, S. Haïk Ventours
s’est attachée à restituer le caractère artistique de cette musique.
Mais, n’en doutons pas, dans l’écriture même de la Thora se trouve
quelque part une formidable puissance qu’il reste à découvrir.
Dans son livre, Werner Keller évoque
encore de nombreux aspects des textes bibliques qui ont été confirmés
récemment par les découvertes des archéologues et des historiens.
Le royaume de Salomon, par exemple. On
pensait que la gloire de ce souverain était surtout le fait de ses
historiographes désireux de le porter aux nues pour lui être agréables.
Il n’en est rien. Le docteur Nelson Glueck, de la prestigieuse American
School of Oriental Research, a démontré que Salomon était à la tête d’un
empire qui dépassait de loin les frontières de l’Etat hébreu. Il
exploitait des mines de fer et de cuivre dans le désert d’Arabie.
Ses bateaux firent le tour de l’Afrique,
peut-être avant ceux de Phénicie. Ses ingénieurs étaient les plus
remarquables de l’époque et des tablettes babyloniennes prouvent qu’ils
disposaient de technologies secrètes ramenées de très loin. Quel peuple
perdu ont-ils rencontré là-bas ? Il ne fait pas de doute que Salomon
entretenait avec lui des relations commerciales et culturelles poussées.
Certains historiens parallèles ont écrit qu’il disposa peut-être des
connaissances du Gondwana dont étaient issus les constructeurs oubliés
de la cité africaine aux murs cyclopéens.
Certes, c’est là pure hypothèse. Mais, encore une fois, tout est possible.
Même l’histoire de la tour de Babel
n’est pas un mythe. Le chercheur allemand Robert Koldewey a découvert
les vestiges de cette construction. Il a noté, comme les autres, que la
structure en briques de la tour correspondait exactement à la
description qu’en faisait la Bible.
Il nous faut donc croire aussi à la
civilisation qui a édifié la tour. Celle des hommes, nous dit le texte,
aux temps où les langages ne les séparaient pas encore. Celle d’une
humanité au noyau commun avec des dieux venus du ciel pour la diriger…
Si tout cela est vrai, une fois de plus, pourquoi pas le reste, tout le reste…
SOURCE : Claude Burkel http://www.topsecret.fr/et-si-la-bible-disait-la-verite/
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