Cependant
n'oublions pas que dès Pythagore, 580 avant JC ou 700, et sans doute
bien avant, en passant par Aristote, Platon, Hippocrate et
bien d'autres, de nombreux penseurs et chercheurs ont émis des théories
sur l'Évolution et la Création. Depuis
leurs travaux ont été repris, voire pillés, ridiculisés ou améliorés à
la lueur des nouvelles connaissances. Mais pour beaucoup de philosophes
et de médecins antiques des énergies inconnues étaient capables de créer
la vie spontanément à partir de matière inanimée ou inorganique et sans
stade évolutif.
La Science,
devenue par la suite souveraine et dogmatique, se perdra ainsi au
milieu de la seule matière observable pour nier ce qu'elle ne voyait
pas ou ne comprenait pas. Elle se basera uniquement sur la dite "raison"
et se moquera de l'instinct qui était si précieux aux chercheurs de
l'antiquité puisqu'il engendre l'Intuition, soit l'accès au Savoir.
Les
phénomènes inconnus furent alors déclarés être de la supercherie,
et l'invisible et l'inaccessible à la compréhension devinrent de facto
inexistants. Sans parler du corps et de l'esprit, ou plutôt
du psychisme, qui furent définitivement séparés pour ne s'intéresser
qu'au premier ; c'est à dire aux seuls effets, à ce qui est visible et
non plus à leur cause. L'observable et le quantifiable devinrent
alors Loi en ayant pour Maître la froide raison émanée d'un
petit intellect.
Les
simples observations de Darwin allaient pourtant être admises sans
preuves comme étant - LA vérité absolue - et ce, à l’heure où certaines
sociétés secrètes voulaient en découdre avec les valeurs morales et les
règles de l'Église pour leur substituer celles de la dépravation et de
la décadence.
Ce
paradigme iconoclaste et totalement fantasmé permettra ainsi d’achever
au fil du temps les valeurs sociétales majeures. Mais il
détruira principalement le Principe supérieur constituant l'Être humain :
L'Humain dès lors deviendra un simple animal. Soit un singe évolué
domptable qui perdra son Essence divine après avoir perdu en des temps
lointains la Mémoire de ses origines. Cette reclassification inférieure
et son acceptation par la masse permettront de mettre en place des
moyens de domination et de destruction massive extrêmes.
Aujourd’hui
de très nombreux scientifiques contestent et rejettent pourtant ces
dogmes comme par exemple Derek W. Ager, Gary Parker ou Jean-François
Moreel ou d'autres. Des scientifiques qui osent même parler d’une
gigantesque escroquerie puisque les grandes failles de la théorie de
Darwin se trouvent être, justement, dans l’absence totale de preuve. Si
ce fait ne dérange pas ses néo-sectateurs, il perturbait à l'époque
Darwin lui-même.
Mais
comme certains anthropologues affirment que nous descendons du porc, de
la souris, des cétacés, des lémuriens placentaires, et peut-être demain
du tabouret, tout peut être avancé puisque ces dits doctes n‘étaient
pas présents aux époques concernées de la Pangée, du Paléozoïque, du
Mésozoïque ni même au début du Cénozoïque.
Quelques exemples : Des êtres unicellulaires n'ont pas évolué en un milliard d'année,
des reptiles comme la tortue, les crocodiliens, certains requins des
abysses et des poissons comme le cœlacanthe n'ont pas développé d'étapes
intermédiaires en 120 millions d'années. Des fossiles d'invertébrés
vieux de 150 millions d'années ont toujours aujourd'hui la même
structure cellulaire sans être passés par une quelconque évolution
transitoire. Et quand la question cruciale est posée : Pourquoi n'y
a-t-il eu aucun changement ? La réponse est : « C'est le hasard ».
Pourtant
des chercheurs ont démontré que l’apparition d’une espèce (phylum) à
l’époque précambrienne et au Cambrien pouvait-être soudaine, non
graduelle, et se faire en un laps de temps très court. Donc qu‘elle
apparaissait complètement formée sans aucun ancêtre.
L’Évolution
n’a donc pas été lente et constante à partir de formes simples qui
donnèrent ensuite naissance à des organismes toujours plus complexes.
Même si le gradualisme s'est opéré (très peu) pour certaines espèces
afin de mieux s'adapter.
Ce
qui veut dire que l'évolution n'est pas passée de l’Amibe au Dinosaure,
puis du Primate à l’Homme, et ce, en quelques centaines de millions
d’années ou en cinq mille ans. Mais que ces formes de vie furent
éruptives et qu'aussi soudaines furent leurs extinctions de masse.
Si des
vers peuvent se former ou s’engendrer dans un fromage laissé en
décomposition dans une boîte fermée, cela signifie que leur création est
spontanée et sans ancêtre. Mais surtout qu'ils existaient déjà en forme potentielle ou astrale précédemment et que seule la fermentation à un stade avancée, ou un procédé de biochimie, a permis leur matérialisation.
Idem
pour les vers parasitaires de l'homme ou de l'animal, le ver du bois et
bien d’autres. Donc toute la Création et même l’Humain peuvent aussi
bien être nés de cette façon spontanée. Elle sera décrite, comme Divine,
en ayant été créée en premier en forme-pensée dans l'Éther supérieur,
Akasha ou Empyrée. C'est le premier chapitre de la Genèse.
Wikipédia : Artist's conception
Les
évolutionnistes iront pourtant affirmer que des fossiles de forme
intermédiaire attestent la validité de cette théorie. Un exemple : celui
du Basilosaurus ( ancêtre des baleines) qui prouverait que ce
gradualisme existe sous prétexte que celui-ci possédait de petites
nageoires postérieures (d'anciennes pattes) qu'il aurait hérité d'un
ancêtre terrestre ; c'est très mince comme indice, mais affirmé comme
étant une preuve.
Le Pr Roberto Fondi, paléontologiste, professeur à l’université de Sienne dit ceci :
« Dans
la nature, il n’y a pas de hasard. II existe un programme et des
influences non matérielles qui agissent au cours de l’évolution »
Stephen J. Gould, pourtant évolutionniste dit :
« L’extrême
rareté des formes de transition est le secret de fabrique de la
paléontologie... L’historique de la plupart des espèces fossiles
comprend deux caractéristiques allant à l’encontre du gradualisme :
La
fixité. La plupart des espèces ne démontrent aucun changement de
direction tout au long de leur durée sur terre. Dans le registre
fossile, leur apparence est à peu près la même à leur disparition; les
changements morphologiques sont habituellement limités et sans
direction.
L’apparition
soudaine. Peu importe la zone locale, les espèces n’apparaissent pas
graduellement, à la suite de la transformation constante de leurs
ancêtres; elles apparaissent plutôt tout d’un coup et « complètement
formées »
Il faut également savoir qu’à l’époque de Darwin la structure de la cellule était incomprise mais que grâce
au microscope à balayage électronique le XX siècle démontrera qu’elle
est une usine moléculaire très sophistiquée et qu'il reste toujours à ce
jour à découvrir la totalité de ses fonctions.
Or
chacun constatera, et ce malgré les avancées techniques et quantiques
actuelles, qu'une bataille acharnée continue de se dérouler entre les
adeptes de l’Évolutionnisme et de l’autre côté ceux du Créationnisme. La
sagesse voudrait cependant qu‘aucune croyance ne soit à la source du
débat sur nos origines.
Mais cette guerre n‘est-elle pas un leurre pour éviter qu‘une troisième voie ne soit empruntée et explorée ? Chacun
campe ainsi sur sa croyance, soit celle en Dieu, en Darwin, ou soit sur
sa mauvaise foi patente. De ce fait le débat reste stérile et censuré.
Cependant
il ne faut pas oublier que cette théorie de l’Évolution est
principalement un dogme occidental, comme celle du «Out-of-Africa », et
qu‘aucune preuve scientifique ne vient les confirmer. Ailleurs cette
théorie bat de l'aile ou n'a jamais été prise au sérieux. En Chine, en
Inde et dans le Pacifique des scientifiques et des penseurs sont
nombreux à affirmer que les premiers nés naquirent dans ces régions et
non en Afrique, et qu'ensuite ils colonisèrent les autres parties de la
terre. Mais surtout qu'ils ne descendent pas d'anthropoïdes.
Thomas Robert Malthus
Malheureusement
la pensée darwinienne inspirera de nombreux chercheurs politiques et
penseurs du monde entier. Ainsi après la première guerre sino-japonaise
(1894/95) cette théorie fut mise en avant pour révolutionner la Chine en
s’appuyant sur un darwinisme social. Elle mènera plus tard au
Communisme en transposant les lois de la jungle et celles de la nature à
la société humaine, ouvrant ainsi la porte au Dogme marxiste.
D'ailleurs
Darwin se serait aussi inspiré des travaux de l’eugéniste Malthus. Une
théorie qui sera reprise idéologiquement et comme une arme de
domination par Marx Lénine, Staline, les sionistes, Bush, Blair &
Co.
Selon Malthus, « la
population humaine a tendance à s'accroître rapidement lorsqu'elle est
laissée à se débrouiller par elle-même. Seuls les désastres tels que les
guerres, la famine et les maladies étaient et sont en mesure de
contrôler la population humaine ». En décodé certains doivent mourir pour que d’autres (entendez une élite) puissent vivre.
Selon Yan Fu (1854-1921), un célèbre penseur chinois, « La principale légitimation de la révolution chinoise émane de l'introduction de la théorie de l'évolution». Et le philosophe socialiste allemand, Friedrich Engel, comparait le darwinisme au marxisme.
Darwin
allait ainsi faciliter le combat des plus forts contre les plus faibles
et contre le reste du monde. Il allait aider à continuer d'ériger la
race blanche en race dominante afin d‘exterminer, comme dans son
observation simpliste et erronée, les plus faibles.
Cette
idée saugrenue de l’évolution portera un coup fatal aux sociétés
modernes, aux valeurs morales, à la justice et à l’égalité des droits
pour ne servir que les intérêts des plus forts, de ceux qui n’ont aucun
scrupule à déposséder et à écraser les autres à l‘aide des moyens les
plus vils et les plus meurtriers.
Il écrira ceci : « Dans
un avenir, pas très lointain, en comptant par siècles, les races
civilisées de l'homme vont sans doute exterminer et prendre la place des
races sauvages à travers le monde. Dans un même temps, les singes
anthropomorphes seront sûrement exterminés. La séparation entre l'homme
et ses alliés les plus proches s'intensifiera car elle touchera, je
l'espère, l'homme dans son état plus civilisé, le Caucasien et certains
singes aussi inférieurs que le babouin, au lieu comme c'est le cas
aujourd'hui entre le nègre, ou l'Australien et le gorille. » source : Charles Darwin, The Descent of Man
Cette
théorie du gradualisme des espèces et celle du plus fort allaient ainsi
bouleverser les fondamentaux anthropologiques, religieux, sociétaux et
politiques, asseoir les pires Régimes comme le Communisme, le
Maccarthysme et le Fascisme, et inspirer les pires dérives comme le
Matérialisme philosophique, le Déterminisme, la Science et la Médecine
mécaniste (soutenue depuis Descartes), le Capitalisme sauvage, le
Racisme et l’Eugénisme.
Il y a de cela plusieurs années j’avais rédigé un article pour contester cette théorie du « Règne du plus fort » mais avec plus de 3000 articles je ne le retrouve plus.
J’y
explique l’inverse. C’est à dire que les dits dominés (ceux qui n'ont
pas le pouvoir et ceux qui sont exclus ou rejetés) finissent toujours
par former entre eux de nouveaux groupes pour survivre en passant cette
fois-ci du stade de dominés à celui de dominants et (ou) d’adversaires.
De plus ils deviennent beaucoup plus sensitifs. Ils
sont également attentifs envers les plus faibles en veillant sur eux
contrairement aux plus forts qui les éliminent. Ils jouent ainsi un rôle
fondamental dans la continuité de l'espèce et dans ses mécanismes de
survie, donc au niveau de l'ADN. Les plus faibles comptent également sur
leur nombre et sur leur intelligence contrairement aux plus forts qui
ne misent que sur leur force brute, animale et barbare.
Darwin
n'avait sans doute pas observé, ou très mal, ce qui se passait dans la
faune chez les jeunes quand ils étaient exclus du groupe. Ils revenaient
plus tard détrôner les mâles Alpha en passant cette fois-ci de dominés à
dominants.
Comme
l'étude et la fin du règne des Dinosaures démontreront que :
Premièrement ils étaient démographiquement très peu par rapport à
d’autres espèces plus petites. Deuxièmement que leur gigantisme les
éloignait les uns des autres afin de trouver un habitat à leur dimension
avec des proies et de la nourriture en abondance. Ce qui implique de se
disperser pour survivre, mais aussi de se fragiliser.
Enfin,
et surtout, que les plus forts ne sont pas les mieux armés pour
survivre à l‘évolution mais bien le contraire. Le gigantisme finit par
desservir, comme la violence et la force physique s'avèrent n'être à
terme qu'un handicap pour les prédateurs.
Idem plus tard chez beaucoup de grandes espèces du Crétacé, du Miocène et du Pléistocène qui dominaient en ces périodes.
Comme
de nos jours, en Afrique, ailleurs ou aux Pôles, où nous assistons à
d'étranges scènes, comportements et revirements de situation. Les prédateurs se voient de plus en plus souvent mis en difficulté face à des proies qui au fil du temps se sont dotées de nouvelles capacités pour leur échapper.
Ces
proies mettent au point des attaques de groupe pour protéger leurs
petits et se protéger mutuellement. Ainsi voyons-nous de paisibles
herbivores attaquer leurs prédateurs, développer des techniques de mise à
mort et venir au secours d'espèces différentes. Ce qui implique que les
dominants sont de plus en plus souvent blessés ou tués, qu'ils ont de
plus en plus de mal à s'alimenter et que de ce fait beaucoup meurent.
Les
puissants d’aujourd’hui sont donc irrémédiablement condamnés eux
aussi à disparaître comme les Dinosaures, les Grecs ou les Romains,
contrairement à l’affirmation de Darwin et de Thomas Malthus.
D’ailleurs,
chez l’humain, le fait que de puissants oligarques peuvent tomber aussi
souvent malades que des dominés, être ruinés et assassinés comme eux,
mourir souvent plus rapidement ou au même âge qu’eux, avoir des tares
qui ne sont pas spécifiques à certains milieux sociaux, démontrent que la loi du plus fort
ne s’appuie que sur un spectre très étroit d’observations, et même sur
de la malhonnêteté, et que seules les capacités psychiques,
physiologiques et spirituelle d’un individu comptent, et non son statut
dans une société.
Une
partie des exclus et des dominés combatifs en bonne santé finit donc
toujours par développer des instincts et des capacités de survie
puissants, à élaborer de nouvelles techniques, à conquérir d’autres
territoires et à s‘allier si nécessaire avec les plus forts pour les
vaincre à terme.
Si
les dominants finissent toujours par s’éteindre du fait de leur petit
nombre, de leur gigantisme, de leur assurance et de leur facilité de
vie, qui les plongent dans une schizophrénie paranoïde, les dits dominés
en sont souvent les instigateurs à leur insu.
Comme
ils sont orgiaques et brutaux dans leurs besoins ils finissent par
détruire leur propre habitat quand les autres le préservent et se
préservent. Ces comportements psychopathiques rendent à terme les dits
dominants inexorablement vulnérables face à des d’esprits beaucoup plus
nombreux qui se remettent perpétuellement en question. Sans compter
leurs alliés qui finissent par les trahir et les rejeter. Parallèlement
les dits dominés sont bien obligés de s’organiser, d’élargir leur
conscience et de déployer un maximum de potentiels quand les premiers,
sûrs d‘eux, s‘enfoncent inexorablement dans leurs croyances et leurs
certitudes. De facto ils construisent leur propre bûcher. C’est ce que
nous commençons à voir en ce moment.
Cependant
depuis la naissance de la Génétique, de la néo Archéo-paléontologie et
de la Science Quantique, le dogme darwinien s’écroule malgré le fait que
les néo-darwinistes s’évertuent à le faire vivre coûte que coûte. Pour
ce faire ils comblent les failles, au mieux, ou au plus mal, en
procédant à des d'expériences de mutagenèses qui échouent les unes après
les autres. Tout comme régulièrement et précédemment ils lancèrent des
découvertes qui s'avérèrent être par la suite de véritables impostures
comme celle de « l’homme de Piltdown » et « l’homme de Java » et de nombreuses autres pour tenter de trouver le gradualisme manquant.
Le
sympathique Yves Coppens lui-même a reconnu certaines de ses erreurs
sans pour autant que l’on cesse de les lire, de les répéter ou de les
entendre dans des reportages.
Les
chaînes National Géographic, Encyclopédia, Histoire et toutes les
autres, même Arte, et les Magazines scientifiques participent d’ailleurs
activement à colporter ces mensonges en diffusant des reportages dans
lesquels ces impostures darwiniennes et d'autres, comme sur les
Pyramides par exemple, sont encore montrées comme étant des preuves
irréfutables et la vérité vraie.
Alors
que l’orthodoxie scientifique insiste lourdement, non sans
arrière-pensée perverse, pour nous faire descendre des grands primates,
et selon la théorie du « Out-of-Africa », sans en apporter une seule
preuve irréfutable, il paraît évident que la vérité transperce malgré
tout de jour en jour. Mais
le Culte du matérialisme évolutionniste est toujours fortement imposé
par la voix de féroces intégristes qui continuent de clore le débat.
Malgré
de patentes démonstrations qui ont été apportées par des collèges
d’experts, la loi du plus fort et les mensonges résistent encore.
Et quand le commun des mortels aime prendre des vessies pour des
lanternes...il leur facilite la tâche.
Au
pire ! Il paraîtrait tout de même plus logique que les grands primates
soient des humains dégénérés. Ce pourrait être survenu suite à de
violents cataclysmes et des conditions de survivance très difficiles.
Mais ces grands primates peuvent tout aussi bien n’avoir aucune parenté
avec l’humain et n'être que des créatures séparées de Nous. Quand au -
1,5 ou 2% - de leur génome, qui établirait la petite différence et la
parenté entre l'humain et le singe, aujourd'hui son séquençage est
grandement remis en question puisque l'écart serait nettement plus
important.
Si
nous descendions vraiment d'un Primate, alors il ne s'agirait plus
d'une évolution mais bien d'une réelle Involution ou Régression.
Mais
certains ne peuvent qu'en descendre quand nous observons la brutalité
animale qui existe depuis l’âge du Fer et surtout maintenant ;
l’involution est patente. Elle est patente puisque nous devrions vivre
un Âge d‘or tellement nos connaissances, nos technologies et nos
diverses richesses terrestres sont abondantes. Des
ressources qui pourraient permettre de faire vivre des milliards
d'individus supplémentaires contrairement à ce que dit leur mensonge : «
la Terre est surpeuplée ». FAUX. Mais uniquement si les
richesses n'étaient pas pillées par 1% de la population mondiale et si
la terre était respectée.
Que
constatons-nous au niveau évolutif ? Et bien que c’est l’inverse qui
s'est produit puisqu' aujourd'hui c'est la barbarie des puissants qui
domine et que les ressources terrestres sont spoliées par ces derniers,
comme ils brevètent le vivant, massacrent, volent, souillent et
détruisent tout ce qu'ils touchent.
Si
nos techniques et nos sciences se sont constamment accrues, il n’en
reste pas moins évident qu’elles sont devenues uniquement matérialistes,
bassement cupides, rationalistes à l'excès et terriblement dangereuses
et perverses. Quant à l'humain, il s'est vidé de son essence spirituelle
première ou divine pour se ramener au stade d’un simple animal parlant
dressé par des clowns pathétiques et dominants et fiers de l'être. C’est
le siècle des Lumières éteintes qui suit celui Rouge-sang
révolutionnaire judéo-christiano-franc-maçonique.
Depuis
l'Ève Biblique et non Originelle (la Race Féminine), qui est très
largement antérieure à l'homme ou au mâle, officiellement - 130 000 à -
150 000 ans avant, et la découverte de son ADNmt, nous savons qu’elle ne
se situait pas forcément en Afrique.
L’ADNmt
est le seul marqueur ancestral uniquement transmis par la mère
contrairement au nucléaire qui est hérité des deux parents. L'Ève
mitochondriale a donc produit une chaîne ininterrompue de filles jusque
aujourd’hui alors qu'il n'existe aucun ADN uniquement masculin.
(Lire Bryan Sykes « Les Sept Filles d'Ève»
Les sept lignées aboutissant à sept femmes originelles. Ces travaux de
Généticien sont effectués sur la classification de tous les humains
actuels en remontant leurs lignées mitochondriales. Ses résultats
montrent que 95 à 97 % des Européens sont reliés à l'une des sept Mères
originelles et qu’une seule, Jasmine, est née au Proche-Orient.)
Ces
résultats sont un véritable cataclysme au sein des orthodoxies
régnantes, mais comme elles sont aux mains de mâles dominants, ces
derniers doivent redoubler de ruses et de mensonges pour conserver leur
pouvoir et leurs privilèges.
Cette
bombe nucléaire ADNmt fait ainsi s’effondrer des pans entiers de
l’Histoire, de la Religion, de la Science et de celle née de Darwin.
Mais principalement l’origine adamique de la Cabale juive qui est
mentionnée dans la Bible judéo-chrétienne puisque son héros Adam(Race)
devient la Création de la Femme. C'est la seconde Chute, après la chute
dans la matière et la séparation des corps après une période
hermaphrodite de la femme/homme.
Un
déluge hydrique venant de bactéries primitives qui étaient composées de
90% d'eau a certainement contribué à cette incroyable mutation puisque
notre corps est aussi composé à 90% d'eau à la naissance et de 70%
ensuite.
Si Péché Originel il y a, comme me disait un ami avec humour : « C'est que l'homme est une femme dégénérée ». D'ailleurs pour le cacher le mot homme
sera appliqué à tout ce qui concerne les Êtres humains, et la
Déclaration universelle des droits de l'homme, aux nombreux symboles
judéo-maçonniques, sera écrite volontairement avec un - h - minuscule,
et non majuscule, alors que la définition idoine serait « La Déclaration universelle des droits de la Race Humaine ».
De
ce fait tout est mis en œuvre pour venir décrédibiliser cette origine
féminine en y apportant des résultats d’études plus que douteux et
éviter ainsi que les peuples n'apprennent la vérité ou qu‘ils ne se
posent des questions.
C'est un coup terrible qui est ainsi apporté aux trois monothéismes, à leur Dieu mâle et au Patriarcat. Chacun en comprendra donc l'enjeu. Mais
si tout le monde a admis sans preuves et sans se poser de questions
que l'homme avait crée la femme, et qu'il lui était supérieur, et que de
nos jours cette version est toujours solidement ancrée dans la
mémoire collective, l'inverse peut donc être parfaitement possible et
vrai. Surtout quand nous savons de source certaine que le Tanakh
et l’Ancien Testament ne sont eux-mêmes que des copies falsifiées et
assaisonnées à la sauce hébraïque ou chrétienne à partir d’anciens
textes hindous, sumériens, babyloniens, tibétains, perses et égyptiens.
Que dire alors du Christianisme.
Ce
mythe permettra de créer un Patriarcat tout puissant qui demeure encore
de nos jours, de rabaisser la Femme, d'éradiquer sa puissance,
d'inventer une lignée de grands rois, de héros et de patriarches
bibliques, l‘histoire d‘un peuple élu et celle d'un dieu tout puissant
vengeur.
En
ce qui concerne principalement l'Amérique du sud, les Celtes, l'Inde,
l'Afrique, les régions Transhimalayennes et l'Asie centrale, de nombreux
textes sacrés et apocryphes antiques parlent de création spontanée et
de plusieurs races successives qui ont été créées par des dieux
géants (Humains et non pas du tout extraterrestres). Nous retrouvons
également ces Races dans les écritures cunéiformes assyro-chaldéennes
et babyloniennes, et très tardivement dans la Bible. Pour cette dernière
le scribe Ezra (ou les scribes) a juste changé les noms pour qu’ils
deviennent les Elohim ( Anunnaki) et falsifié l'Epopée de Gilgamesh et l'Enûma Elish pour en faire la Genèse.
(
les Extraterrestres, très terrestres, sont un moyen de domination. Leur
invention sert également à la substituer doucement au dogme de nos
origines simiesques puisqu'il s'écroule)
Promtéhée et Athéna créant l'homme. Wikipédia : Italie - Bas-relief III siècle - Louvre
Il
est donc certain qu‘à ces époques lointaines une race supérieure
existait ; c’est pour nous la Race Elohim qui engendrera ensuite la
Lignée qui donnera les Anakim, les Nephilim, les Ephraïm ou les Géants,
ou ceux de la Mythologie gréco-romaine. Soit celle des Anunnaki en
Mésopotamie, précédemment celle des Atlantes et avant celle de la
Lémurie ( anagramme de Lumière) et de Mu .
D’ailleurs
dans l’Ancien Testament il y a plusieurs Lignées après les Elohim, ou
plusieurs Créations même si certains affirment qu’il ne s’agit que de
répétition. Mais pas du tout ! Car les noms sont différents et les
verbes également entre - concevoir - engendrer - créer et enfanter ce
n'est pas la même chose :
C’est
celle d’Ève ( la dernière Ève) qui est décrite en premier et qui
conçoit Caïn (Principe mâle ) sans accouplement avec le Divin ( dans son
esprit) et Abel ( Principe autogénitus dit Divin) qui sera tué. Ensuite
suivra celle d'Adam (femmes en mutagénèse) qui engendrera Seth pat
parthénogenèse pour arriver à Noé. Noé à une femme sans nom, c'est sa
partie et son côté féminins qui sont absents.
Cette
Race supérieure s’est-elle alors accouplée avec une lignée inférieure,
voire avec des animaux évolués, ou est-ce la séparation des corps qui
permit à la longue la copulation ; ou est-ce les trois mon capitaine ?
Genèse, chapitre 6/6:2 : « les Elohim, (devenus les fils de Dieu), trouvèrent que les filles des hommes leur convenaient et ils prirent pour femmes toutes celles qu'il leur plut »?
Il
faut savoir que dans la nature des d'oiseaux, des reptiles, des
poissons comme le requin-marteau, ou des amphibiens ont des petits
par parthénogénèse,(uniquement des filles), sans rapport sexuel, que
beaucoup d'autres sont hermaphrodites et que d'autres encore n'ont pas
besoin de copuler pour pondre des œufs fécondés, comme les poissons qui
fraient.
Pour le requin-marteau, c'est une découverte. Dans un aquarium du Nébraska une femelle vierge a
donné naissance à des petits sans copulation, par parthénogénèse. Les
scientifiques pensent, honnêtement ou par bêtise, ou malhonnêtement par
besoin de cacher la vérité, qu'il s'agit d'une anomalie génétique, quand
il ne s'agit d'une capacité originelle éteinte qui reprend vie.
Les
Anunnaki sont une lignée de dieux. Ils ont été découverts sur des
inscriptions mésopotamiennes antérieures de plus deux mille ans au récit
Biblique. Cependant volontairement le nom de certaines grandes Déesses
sera changé pour le masculiniser. Le "satanisme" ou plutonisme inverse
tout. Il faut donc traduire ainsi : Les filles de la Déesse trouvèrent que les mâles( leur côté naissant masculin ou ces créatures) leur convenaient [...]
Aknénaton est une femme
Pour
terminer il faudra pourtant faire admettre à tous, et cela ne sera pas
facile, que les Écritures et les preuves archéologiques de nos origines
(féminines, non simiesques) ont été soigneusement falsifiées et cachées
au grand public, tout comme celles de ces grandes Civilisations
antédiluviennes qui ont disparues avec leurs Continents.
Pour
ce faire, on cache, on nous ment, on invente, on falsifie et on force
la nature afin de démontrer qu’il n’existe aucune autre alternative
possible. Cela s’appelle un crime masqué sous l'euphémisme - Dogme -,
qu'il soit scientifique, religieux ou politique. Pour arriver à effacer
cette historicité fondamentale, les datations ont été également
délibérément faussées. Comme toutes les religions
actuelles ne dateraient seulement que du second millénaire avec la
construction des cathédrales, les croisades, les rois maudits etc. Quand
au judaïsme aucune preuve n'a été trouvée à ce jour pour lui donner une
existence réelle avant la grande Réforme Radicale protestante.
HERODOTE, lib. II, c 48
Les
Egyptiens affirment que du règne d'Héraclès celui d'Amasis, 17 000
années se sont écoulées.( Amasis ou Ahmosis II - Héraclès ou Hercule)
L’Humain
double sapiens n’est donc pas descendu au départ d’un arbre pour
ensuite découvrir le premier la bipédie, il y est peut-être monté pour
survivre, enfin certains, quand une race antérieure et supérieure en
mutation coexistait déjà avec lui .
Une
Bipédie rappelons-le qui existait chez les dinosaures voilà dit-on 140
millions d'années et qui pourraient n'être que de quelques milliers
d'années. Pourquoi dans ce cas ne pas nous faire descendre directement
d’eux puisque c'est soi-disant la bipédie qui nous aurait permis de
devenir Sapiens ?
Enfin, si
l’Humain descendait du singe, tous les grands primates seraient devenus
des humains en 58 millions d’années, et le chaînon manquant aurait été
trouvé depuis belle lurette. Et si les expériences qui sont menées sur
le Gorille, l’Orang-outan, le Chimpanzé et le Bonobo démontrent qu'ils
sont aptes à singer l’homme, ou peut-être capables avec de
l’entrainement de réactiver des gènes endormis pour recouvrer leurs
anciennes facultés humaines, ces résultats n'attestent en aucun cas que
nous descendons d'eux et qu'ils sont nos cousins ou ancêtres lointains.
Quoi qu’il en soit l’humain qui a une conscience ne descend pas d'un singe.
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