ATTENTION ! les éléments énoncés ici évoquent les rangs les plus élevés, et les plus secrets des différents rites francs-maçons.
Ces éléments sont donc inconnus des nouveaux maçons des grades faibles
et du grand public. Vous trouverez des témoignages de franc-maçons de
rangs divers qui exposent ce qu’ils savent depuis qu’ils en sont sortis.
Origine
La franc-maçonnerie résumée
La franc-maçonnerie Disséquée
Témoignages
Conférences
Laïcité & Religion de la franc-maçonnerie
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Nouveau :
Le sujet étant tellement vaste, un site séparé et entièrement dédié
aux dessous de la franc-maçonnerie a été lancé au cours de l’été 2015.
Témoignages d’ex-maçons, témoins profanes, bibliothèque et vidéothèque https://francmaconnerieexposee.wordpress.com
« Démasquer la Maçonnerie déclara Léon XIII, c’est la vaincre ».
Si nous la dépouillons de ses voiles,
tout esprit droit, tout cœur honnête se séparera d’elle avec horreur, et
par ce seul fait, elle tombera anéantie et exécrée par ceux-là mêmes
qui lui obéissent.
L’illustre et savant Jésuite Mgr Léon
Meurin S. J., Archevêque Evêque de Port Louis, dans son remarquable
ouvrage « Le Symbolisme de la Maçonnerie », démontre avec une
documentation écrasante que les juifs sont les fondateurs, les
organisateurs et les dirigeants de la Maçonnerie, qu’ils utilisent pour
parvenir à la domination mondiale et pour détruire la Sainte Eglise
Catholique et les autres religions existantes.
Parmi la très sérieuse documentation
bibliographique qu’il présente à ce propos, figurent quelques citations
que nous mentionnerons ci après :
« Le Premier Conseil Suprême, comme nous
l’avons dit, fut constitué le 31 mai 1801 à Charleston, 33 degrés de
latitude nord, sous la présidence de Jules Isaac Long, fait inspecteur
général par le juif Moïse Cohen, qui avait reçu son grade à Spitzer de
Hyes, de Francken et du juif Morin » 1).
« Les juifs étaient donc les fondateurs
du Premier Grand Conseil qui devait devenir le Siège de la Maçonnerie
internationale. Et ils le situèrent en Amérique, dans une ville choisie
précisément sur le 33eme degré de latitude nord. Le chef suprême s’est
établi depuis 1801 à Charleston. Ce chef était en 1889 Albert Pike 2), dont
nous avons déjà mentionné la « Lettre encyclique » datée du 14 juillet
1889, anniversaire et centenaire célèbre, Pike qui prit le titre de
chacun des trente trois grades et y ajouta encore les suivants : »Très
Puissant Souverain Commandeur, Grand maître du Suprême Conseil de
Charleston, Premier Conseil Suprême du Globe, Grand Maître Conservateur
du Palladium Sacré, Souverain Pontife de la Maçonnerie universelle ».
C’est avec ces titres pompeux qu’il publia sa Lettre Encyclique en la
troisième année de son « pontificat », assisté de « dix »
Illustrissimes, Très Illuminés et Très Sublimes Frères, Souverains
Grands Inspecteurs Généraux, Mages Elus qui composent le Sérénissime
Grand Collège des Maçons Emérites, Conseiller de la Phalange de
Sélection et du Bataillon Sacré de l’Ordre ». 3)
« L’Encyclique énumère les vingt-trois
Conseils Suprêmes « engendrés » jusqu’à présent, soit directement par
celui de Charleston, soit indirectement, et qui sont répartis de par le
monde entier. Elle énumère ensuite les cent Grands Orients et Grandes
Loges DE TOUS LES RITES en communication avec le Suprême Conseil de
Charleston en tant que Souveraine Puissance Maçonnique: par exemple le
Grand Orient de France, le Conseil Général du Rite Misraim, le Grand
Conseil des Maçons Oddfellows, etc.
Ce qui précède fait conclure que la
Maçonnerie est une, sur tout le globe, sous d’innombrables formes, mais
sous la direction suprême du Souverain Pontife de Charleston. » 4)
Origine juive
Les rites et les symboles de la
Maçonnerie et des autres sociétés secrètes rappellent constamment la
Cabbale et le Judaïsme, à savoir : la reconstruction du Temple de
Salomon, l’étoile de David, les noms des différents grades comme par
exemple celui de chevalier Kaddosh (kaddosh en hébreux signifie saint),
de Prince de Jérusalem, de Prince du Liban, de chevalier du Serpent
d’Airain, etc. Et la prière des maçons anglais adoptée lors d’une
réunion qui eut lieu en 1663 ne rappelle-t-elle pas de manière évidente
le Judaïsme ? 5)
« Enfin la Maçonnerie écossaise se servit
de l’ère juive (pour ses datations): par exemple, un livre du maçon
américain Pike écrit en 1881 est daté de « l’année du monde 5641″. 6)
Actuellement cette chronologie n’est plus
conservée que dans les hauts grades, et les maçons se contentent
‘ajouter quatre mille ans à l’ère chrétienne et non pas trois mille sept
cent soixante comme les juifs ». 7)
Le savant rabbin Benamozegh écrit ce qui
suit : « Ceux qui voudraient entreprendre la tâche d’examiner
attentivement les questions des rapports entre le Judaïsme et la
Franc-Maçonnerie philosophique, la théosophie et les mystères en général
perdraient… un peu de leur superbe dédain pour la Cabbale. Ils
cesseraient de sourire avec condescendance à l’idée que la théologie
cabbalistique puisse avoir un rôle à remplir dans l’évolution religieuse
de l’avenir « 8)
Qui sont les véritables dirigeants de la
Maçonnerie ? C’est l’un des mystères de la secte, l’un de ses secrets
les plus soigneusement gardés ; mais l’on peut s’assurer que le travail
maçonnique dans le monde entier se déroule en accord avec un même et
unique plan, que ses moyens sont toujours et en toutes parties
identiques et que les fins poursuivies sont constamment les mêmes. Ceci
nous conduit à penser qu’il existe un centre unique qui dirige tous les
mouvements de la secte.
Nous aborderons plus loin cette question,
mais rappelons-nous que la « lettre de Cologne », datée du 24 juin 1535
parlait d’un directeur de la Maçonnerie : le Grand Maître Patriarche,
qui, bien que connu seulement de très peu de frères, existe réellement ;
et Gougenot des Mousseaux indique que cette élite de l’Ordre, ces chefs
effectifs que bien peu d’initiés connaissent opèrent sous la secrète et
profitable dépendance de cabbalistes israélites, et que les véritables
chefs de la Maçonnerie sont les amis, les auxiliaires, les vassaux du
juif, qu’ils respectent comme étant leur souverain seigneur ». 9)
La même opinion est partagée par Eckert,
Drumont, Deschamp, Mgr Jouin, Lambelin et d’autres bons connaisseurs des
questions maçonniques et juives.
Laissons de coté les enseignements
dogmatiques de la Maçonnerie et du Judaïsme pour examiner les alliances
entre le Judaïsme et la Maçonnerie du point de vue purement pratique et
factuel.
En toute logique, on ne peut qu’accepter la conclusion de Léon de Poncins dans Les Forces secrètes de la Révolution :
« L’universalité de de la
Franc-Maçonnerie, sa durée, l’invariabilité de ses fins, qui
s’expliquent parfaitement s’il s’agit d’une création juive destinée à
servir les intérêts juifs, seraient absolument incompréhensibles si son
origine était chrétienne. La finalité même de la Franc-Maçonnerie : la
destruction de la civilisation chrétienne nous découvre le juif, parce
que seul le juif peut en être le bénéficiaire, et qu’uniquement le juif
est animé d’une haine suffisamment violente contre le Christianisme pour
créer une semblable organisation. »
« La Franc-Maçonnerie, poursuit L. de
Poncins, est une société secrète. Celle-ci est dirigée par une minorité
internationale. Elle a juré une haine implacable au Christianisme. Ces
trois caractéristiques sont précisément les mêmes que celles qui
définissent le Judaïsme, et elles constituent la démonstration que les
juifs sont l’élément directeur des loges ». 10)
La Revue Internationale des Sociétés
Secrètes publiait en 1926 cette information : « En 1867 se constitua la
Ligue Internationale permanente de La Paz, et son secrétaire le juif
Passy ébaucha l’idée d’un tribunal pour trancher sans appel de tous les
conflits entre les nations ». 11)
La société des Nations, œuvre juive
Le périodique « Les Archives Israélites »
envisageait un tribunal analogue en 1864 : « N’est-il pas naturel et
même nécessaire y écrivait un certain Lévy Bing que nous voyions
rapidement s’établir un autre tribunal, un tribunal suprême, auxquels se
soumettent les grands conflits publics, les querelles de nation à
nation, qui juge en ultime instance et dont le dernier mot fasse foi ?
Cette parole sera celle de Dieu, prononcée par ses fils ainés (les
hébreux) et devant laquelle s’inclinera avec respect l’universalité des
hommes, nos frères, nos amis, nos disciples ». 12)
Tels sont les songes d’Israël.
Et comme toujours, ils coïncident avec
ceux de la Maçonnerie : « Quand la République sera-t-elle établie dans
toute la vieille Europe ? » écrivait l’Almanach des Franc-Maçons qui
répondait aussitôt : « ce sera lorsqu’Israel règnera en autocrate sur
cette vieille Europe ». 13)*)
Lors du Congrès Universel de la Jeunesse
Juive qui eut lieu le 4 août 1926, on entendit le maçon H. Justin-Godard
proclamer que les juifs sont : »les plus fermes soutiens de la Société
des Nations, qui leur doit son existence « 14). Le juif Cassin fut
encore plus précis :’ »La renaissance du Sionisme est l’œuvre de la
Société des Nations. C’est pour cela que les organisations juives se
font les défenseurs de la Société des Nations, et pour cela aussi que
les représentants du peuple élu pullulent à Genève ». 15)
L’éminentissime Cardinal José M. Caro,
Archevêque de Santiago et Primat du Chili, dans son ouvrage très
documenté intitulé « Le Mystère de la Maçonnerie », démontre aussi que
ce sont les juifs qui dirigent cette secte dans le but de dominer le
monde et de détruire la Sainte Eglise.
Au sujet de son origine, il affirme :
« Le Rituel Maçonnique révèle de toute évidence son origine juive : les
symboles en commençant par la même Bible ; l’écusson, dans lequel il
s’agit du déploiement héraldique des chérubins décrits dans la seconde
vision d’Ezéchiel : un bœuf, un homme, un lion et un aigle ; les deux
colonnes du temple maçonnique, rappel du temple de Salomon ; la
reconstruction du Temple qu’est l’œuvre maçonnique elle-même, etc. Les
légendes et catéchismes tirés en grande partie de la Bible, celle-ci
rapportée presque toujours au savoir maçonnique, spécialement la légende
d’Hiram qui joue un rôle si important dans le Rituel maçonnique ; les
paroles et termes usuels comme les noms des colonnes Booz et Jaïn, les
mots de passe et de reconnaissance, comme par exemple Tubalcaïn,
Schiboleth, Giblim ou Moabon, Nekum ou Nekam, Abibalc, etc. L’importance
donnée aux nombres, chose très particulière à la Cabbale, est aussi un
autre témoignage de l’influence cabbaliste sur la Maçonnerie.
« Enfin il y a les faits, le règne de la
terreur, l’explosion de haine satanique contre l’Eglise, contre
Notre-Seigneur Jésus-Christ, les horribles blasphèmes que vomirent les
révolutionnaires maçons en France : tous ces faits ne sont que
l’expression et la réalisation des aspirations des sectes cabbalistes
secrètes, qui durant de nombreux siècles conspirèrent secrètement contre
le Christianisme. Ce que les bolchevistes, pour la plupart juifs, font
actuellement en Russie contre le Christianisme, n’est qu’une réédition
de ce que firent les maçons lors de la Révolution française. Les
exécutants sont différents; la doctrine qui les fait agir et les
autorise est identique, et la direction suprême est la même ». 16)
Pablo Rosen : »Satan y Compania « , p. 219.
(NDT) : Albert Pike, maçon 33° et Grand Commandeur du Rite Ecossais antique accepté, très célèbre sataniste du XIXème siècle, créateur avec Mazzini du rite Palladien du satanisme. Voir l’ouvrage récent d’Epiphanius « Maçonnerie et Sectes secrètes, le côté caché de l’Histoire »
publié en Italie par Edit. Ichtys, via Trilussa 45, 00041 Albano
Laziale. Version française par Le Courrier de Rome, diffusée par DPF,
BP1, 86-Chiré en Montreuil.
Adolphe Ricoux : « L’Existence de Loges de femmes » Paris, pp. 78 à 95.
Mgr Léon Meurin S.J. Archevêque de Port Louis : « Symbolisme de la Maçonnerie« , édition espagnole Madrid,1957, pp. 201-202
Revue Internationale des Sociétés Secrètes,(Paris) N°2, 1913, p. 58.
A. Pike : « La Morale et le Dogme dans le Rite écossais« ,Anno Mundi 5641.
Maurice Fara : « La Massonneria en Descubierto« , Edit. La Hoja de Roble, Buenos Ayres, p. 23.
Rabbin Benamozegh : « Israël et l’Humanité « ,p. 71 de l’édition espagnole.
Gougenot des Mousseaux : « Le Juif, le Judaïsme et la Judaïsation des peuples chrétiens« , pp.338 et 339 de l’édition espagnole.
« Almanach des Franc-Maçons » , Leipzig, 1884 (NDT. A noter
que Leipzig était une ville à très forte population juive dont les deux
tiers des propriétés immobilières était aux mains des juifs… jusqu’à
l’ère des Nazis !)
*) Il est alors étrange que le Pape Benoit XV se soit félicité
publiquement de la création de la S.D.N… Mais la Secrétaire d’Etat du
Cardinal Gasparri était au service de la Maçonnerie et le Pape a
probablement été trompé.
« Les Cahiers de l’Ordre » , numéros 3 et 4, 1926, pp 22 et 23.
Maurice Fara, opus cit. p.111, auteur à la diligence duquel nous devons les informations précédentes sur la Société des Nations.
Jose Maria Cardinal Caro R. Archevêque de Santiago,Primat du Chili : « El Misterio de la Massoneria » , Edit. Difusion, p. 258.
La franc-maçonnerie résumée:
Chapitre III – Les juifs, dirigeants de la Maçonnerie
L’illustre et savant Jésuite Mgr Léon
Meurin, Archevêque Evêque de Port Louis, dans son ouvrage très documenté
« Philosophie de la Maçonnerie » [1] affirme ceci :
« Les onze premiers grades de la
Maçonnerie (du rite écossais), comme nous le verrons plus loin, étaient
destinés à transformer le profane en homme véritable selon l’idée
maçonnique ; la seconde série, qui va du douzième au vingt-deuxième
degré, doit consacrer l’homme « Pontife Juif », et la troisième série,
du grade 23 au grade 33, doit consacrer le Pontife comme « Roi Juif » ou
« Empereur cabbalistique »…
« La première chose qui surprend le
nouvel adepte dans une loge est le caractère juif de tout ce qu’il y
rencontre. Depuis le premier grade et constamment après, il n’entend
parler que du « Grand Œuvre » de reconstruire le temple de Salomon,
de l’assassinat de l’architecte Hiram Abiff, des deux colonnes Booz et
Jakin (III Rois, VII, 21) d’une multitude de contre-marques et de
paroles sacrées hébraïques, ainsi que de l’ère juive pour laquelle on
ajoute 4000 ans à la nôtre afin de ne pas honorer la naissance du divin
Sauveur ».
« Après avoir établi fermement la
Maçonnerie dans les divers pays chrétiens, les juifs assurèrent la
prééminence des Grands Orients en nombre et en influence. Par ailleurs,
ils établirent un grand nombre de loges formées exclusivement de juifs.
Déjà avant la Révolution de 1789, les Frères von Ecker et Eckhoffen
avaient fondé à Hambourg la « Loge de Melchisedech » réservée aux seuls
juifs. Les hébreux Von Hurschfeld et Cotter créèrent, eux, à Berlin à la
fin du XVIIIème siècle la « Loge de la Tolérance » dans le but de rapprocher au moyen de la Maçonnerie les chrétiens des juifs ». [2]
Les juifs usaient donc déjà à cette
époque du système de rapprocher les juifs et les chrétiens, dans l’idée
de contrôler idéologiquement et politiquement ces derniers ou de les
désorienter ; mais à cette époque, ils devaient pour cela recourir aux
« sociétés secrètes », car les lois et les coutumes des Etats chrétiens
d’Europe étaient pleines de mesures tendant à protéger les chrétiens
contre les tromperies des juifs. L’Archevêque cité poursuit en disant
que : « Le périodique maçonnique secret de Leipzig, dans son numéro
correspondant au mois d’octobre de 1864, disait que « le centre des loges juives fonctionnait à Paris, sous la direction de Crémieux (NDT Isaac, dit Adolphe) et du Grand Rabbin ».
Les doctrines, symboles et grades maçonnique proviennent du Judaïsme
L’illustre Archevêque Évêque de Port Louis parlant de l’origine juive des doctrines maçonniques dit ceci : « Les dogmes de la Maçonnerie sont ceux de la Cabbale juive et en particulier ceux de son livre « Zohar » (lumière) ».
« Cela n’apparaît dans aucun document
maçonnique, car c’est l’un des grands secrets que les juifs gardent pour
eux-mêmes. Cependant nous avons pu le découvrir sur les traces du
onzième grade…
« C’est là que nous avons découvert les dogmes fondamentaux de la Cabbale juive incorporés à la Maçonnerie. » [3]
Dans son autre ouvrage « Symbolisme de la Maçonnerie » le même Évêque précise :
« Dans les chapitres précédents, il
restait toujours un certain nombre de symboles maçonniques plus ou moins
inapplicables. En cela, tout ce qui joue un rôle dans la Maçonnerie
s’applique au peuple juif avec une facilité étonnante. En réalité tout
ce qu’il y a dans la maçonnerie est profondément, exclusivement et
passionnément juif, du début à la fin.
« Quel intérêt les autres nations
ont-elles de reconstruire le Temple de Salomon ? Le feraient-elles pour
elle-mêmes ou pour les juifs ? Est ce que ce sont ces nations ou bien
les juifs qui en tireraient un bénéfice ? Quel avantages pour elles de
se dévorer les unes les autres, dans l’objectif que triomphent dans le
monde entier les « Princes de Jérusalem » (seizième grade), les « Chefs
du Tabernacle » (vingt-troisième grade), ou les « Princes du
Tabernacle » (vingt-quatrième grade) ? Les nations se sont-elles mises
d’accord pour servir d’escabeau pour les pieds des juifs ? (Psaume CIX)
Pourquoi ensuite s’empressent-elles de placer la couronne (Kether) sur
sa tête et le Malkuth (royaume) sous leurs pieds ?
« Il est si évident que la Maçonnerie
n’est qu’un outil aux mains des juifs, et que ce sont eux qui la gèrent,
que l’on serait tenté de croire que les maçons non-juifs ont perdu la
faculté de raisonner le jour même ou pour la première fois ils leur ont
bandé les yeux ». [4]
La considération maçonnique pour les juifs.
L’Eminentissime Cardinal Caro dans son ouvrage « Le Mystère de la Maçonnerie » déclare :
« Dans la Maçonnerie, on a
toujours constaté une grande et très spéciale considération pour les
juifs : lorsqu’on parle de superstition, jamais l’on ne mentionne la
religion juive. Quand éclata la Révolution française, on demanda avec
insistance la citoyenneté française pour les juifs ; celle ci refusée
une première fois, elle fut demandée une nouvelle fois et fut consentie.
Le lecteur se souviendra que dans le même temps, l’on persécutait à
mort les catholiques. (Quand la Commune de Paris dut défendre la Caisse
de la Banque de France contre la menace de sac, rien en revanche ne
menaça les banques juives) (in La Franc-Maçonnerie secte juive,
p. 60). » La Franc-Maçonnerie a toujours considéré avec horreur
l’antisémitisme, à un tel point qu’un frère antisémite qui croyait de
bonne foi en la tolérance des opinions politiques de la Maçonnerie se
présenta en France comme candidat à un siège de député et fut élu une
première fois, mais quand il se représenta pour être réélu, des ordres
exprès furent donnés aux loges pour le combattre, ordres qui ne se
voient quasiment jamais dans les loges (contre un frère NDT) et qui
durent être obéis. »
La prépondérance juive dans les loges :
« En 1862, un maçon de Berlin, se rendant compte de la prépondérance juive dans les loges, écrivit dans une feuille de Munich : « Il
y a en Allemagne une société secrète de forme maçonnique qui est
soumise à des chefs inconnus. Les membres de cette association sont en
majeure partie israélites… ». A Londres, où se trouve comme on
sait le foyer de la révolution sous le Grand Maître Palmerston, il y a
deux loges juives qui ne virent jamais un chrétien franchir leur seuil :
c’est là où se rejoignent tous les fils des éléments révolutionnaires
qui aboutissent dans les loges chrétiennes.
« A Rome, autre loge entièrement composée
de juifs, où là encore se rejoignent tous les fils des trames ourdies
dans les loges chrétiennes : c’est le Suprême Tribunal de la Révolution.
« C’est de là que sont dirigées par des
chefs secrets les autres loges, de sorte que la majeure partie des
révolutionnaires chrétiens ne sont que des marionnettes mises en
mouvement par des juifs, au moyen du mystère. »
« A Leipzig, à l’occasion de la foire qui
faisait accourir en cette ville nombre de grands négociants juifs et
chrétiens de l’Europe entière, la Loge Juive secrète se tient ouverte en
permanence, mais jamais un maçon chrétien n’y a été reçu ». Et voici ce
qui fait ouvrir les yeux à plus d’un d’entre nous… Il n’y a que les
émissaires qui ont accès aux loges juives de Hambourg et de Francfort. »
Gougenot des Mousseaux rapporte le fait suivant, qui confirme ce qui précède :
« Depuis la recrudescence révolutionnaire de 1848, je me trouvais en relations avec un
juif, qui par vanité trahissait le secret des sociétés secrètes
auxquelles il était associé, et qui m’avertit huit ou dix jours à
l’avance de toutes les révolutions qui allaient éclater en un point
quelconque de l’Europe. Je lui dois l’inébranlable conviction
que tous ces grands mouvements des « peuples opprimés », etc., sont
combinés par moins d’une douzaine d’individus, qui donnent leurs ordres
aux sociétés secrètes de toute l’Europe. Le sol est entièrement miné
sous nos pieds, et les juifs fournissent un grand contingent des mineurs
en question ».
« En 1870, De Camille écrivait dans Le
Monde que lors d’une réception en Italie, il avait rencontré l’une de
ses anciennes connaissances, un maçon, et lui ayant demandé comment
allait l’Ordre, celui ci lui répondit : « J’ai quitté
définitivement ma loge de l’Ordre, parce que j’ai acquis la profonde
conviction que nous n’étions que les instruments des juifs qui nous
poussaient à la totale destruction du Christianisme ». (La F-M., secte juive, pp.43-46).
« Comme confirmation de ce qui précède,
je veux rapporter une information trouvée dans la Revue des Sociétés
Secrètes de 1924, pp. 118-119, où on lit :
« 1° L’Internationale Dorée (ploutocratie et haute finance internationale) à la tête de laquelle figurent :
a) en Amérique : P. Morgan, Rockfeller,
Wanderbuilt et Wanderlippe (plusieurs de ces noms nous paraissent être
tout ce qu’il y a de plus du peuple élu..;
b) en Europe, la Maison Rothschild et d’autres, d’ordre secondaire.
« 2° L’Internationale Rouge ou Union Internationale de la Démocratie Sociale Ouvrière. Celle ci comprend :
a) la IIème Internationale (celle de Belgique du juif Vandevelde) ;
b) l’Internationale II 1/2 (celle de Vienne, du juif Adler), et
c) la IIIème Internationale ou Internationale communiste (celle de Moscou des juifs Apfelbaum et Radek).
« A cette hydre à trois tête, qui pour
plus de commodité opèrent séparément, s’agrège le Profinterm (Office
International des Associations Professionnelles) qui a son siège à
Amsterdam et dicte les mots d’ordres judaïques aux syndicats non encore
affiliés au bolchevisme.
« 3° L’Internationale Noire, ou Union du Judaïsme de Combat.`
« Le rôle principal y est dévolu à
L’Organisation Sioniste Universelle (de Londres), à l’Alliance Israélite
Universelle qui fut fondée à Paris par le juif Crémieux, à l’Ordre juif
des B’nai Moische (les fils de Moise) et aux sociétés juives
« Henoloustz », « Hithakhdoute », « Tarbout », « Keren-Haessode » et
cent autres plus ou moins masquées, disséminées dans tous les pays de
l’ancien et du nouveau monde.
« 4° L’Internationale Bleue, ou Maçonnerie Internationale,
qui regroupe, au moyen de la Loge Réunie de Grande Bretagne,de la
Grande Loge de France, et des Grands Orients de France, de Belgique,
d’Italie, de Turquie et des autres pays, tous les maçons de l’univers. (Le centre de ce groupement est comme le savent les lecteurs la Grande Loge « Alpina » en Suisse) [NDLR ; Sur Alpina : wiki – site web – article]
« L’Ordre judéo-maçonnique des « B’nai Brith »,
qui, à l’encontre des statuts des loges maçonniques, n’accepte que des
juifs et qui compte dans le monde plus de quatre cent vingt six loges
purement juives, sert de lien entre toutes les internationales énumérées
précédemment.
« Les dirigeants du « B’nai Brith » sont
des juifs : Morgenthau, ancien ambassadeur des Etats Unis à
Constantinople ; Brandeis, juge suprême aux Etats-Unis ; Mack, sioniste ;
Warburg (banquier) ; Elkus ; Kraus (Alfred) son premier président ;
Schiff maintenant décédé, qui a subventionné le mouvement d’émancipation
des juifs en Russie ; Marchall (Louis) sioniste. [5]
« Nous savons en toute certitude, a dit
N. Webster, que les cinq pouvoirs auxquels nous avons fait référence ;
la Maçonnerie du Grand Orient, la Théosophie, le Pan-Germanisme, la
Finance Internationale et la Révolution Sociale ont une existence bien
réelle et exercent une influence tout à fait définie sur les affaires du
monde. Il ne s’agit pas en cela d’hypothèses, mais de faits basés sur
une évidence documentée ». [6]
« Les juifs ont été les associés les plus remarquables de la Franc-Maçonnerie depuis la Révolution ». (Jewish Encyclopedia).
En prenant possession de la loge de Béziers, sous le gouvernement du Maréchal, en 1941, la police découvrit le cadavre d’une fillette âgée d’environ sept ans. Commis
par M. le procureur de l’Etat français, M. le docteur Roulaud, médecin
légiste, se rendit le 19 décembre 1941, à 16 heures, à la Loge et dressa
un rapport.
« Le cadavre examiné, y lit-on, est
celui d’une fillette mesurant cent trois centimètres, et par conséquent,
âgée d’environ sept ans. »
Le médecin légiste décrit ensuite minutieusement ce cadavre qui pesait deux kilos, dont les parties molles étaient « absolument desséchées, ligneuses et légères ». Les viscères avaient été enlevés. Il ne restait que le « squelette, les muscles des membres, avec des morceaux de peau parcheminée ». Les vaisseaux artériels avaient été « colorés en rouge vif« , et les veines « injectées en bleu« . On avait conservé « la vessie et le rectum béants et parcheminés« .
Deux trous pratiqués dans le vertax permettaient de suspendre ce cadavre au mur, ajoutant à l’horreur du spectacle. On avait, détail horrible, « respecté les paupières qui portaient encore leurs cils longs et blonds » et les lèvres qui bordaient « d’un mince liseré desséché une rangée presque intacte de petites dents jaunies« .
On pourra trouver deux reproductions
photographiques du cadavre de la loge de Béziers dans les Documents
maçonniques d’août 1942, p. 23.
Toutes
les loges n’avaient sans doute pas les moyens de pousser l’usage de
l’horrible aussi loin que la loge de Béziers, mais dans tous les
cabinets de réflexion, on trouve des crânes, des tibias, des tentures de
deuil, des transparents lumineux faisant apparaître un corps d’homme,
des silhouettes en matières luminescentes, des squelettes en fer forgé
peint, etc…
De toute manière, il s’agit d’inspirer l’horreur.
La découverte du cadavre de la loge de
Béziers indigna, à l’époque, un public qui ignorait tout des cérémonies
initiatiques dans la Franc-maçonnerie.
« Sans aucune nécessité scientifique, écrivaient les Documents maçonniques,
sans aucun droit, contrairement aux lois, la Maçonnerie s’est
appropriée le malheureux cadavre d’une petite fille pour le faire
figurer dans ses cérémonies macabres afin d’impressionner les Frères. »
Le but était, évidemment, de placer ses adeptes dans un « état spécial d’hypnose intellectuelle et d’énervement physique », nécessaires à la préparation à l’initiation.
Jacques Ploncard d’Assac – Le secret des Francs-maçons (1979) – p. 131 (Source)
A propos des monstrueux crimes de cette
œuvre maîtresse du Judaïsme moderne qu’est la Maçonnerie, dit
textuellement l’Excellentissime Cardinal Caro : « La lecture du
Rituel Maçonnique fait bien voir qu’au moins en divers grades, elle
prépare ses adeptes à la vengeance, à la révolution et par le fait même,
au crime ».
« Dans tous les rites dit Benoit les
maçons sont soumis à une éducation qui leur enseigne, en théorie comme
en pratique, la violence. On leur dit que l’Ordre maçonnique a pour finalité de venger la mort d’Hiram sur ses trois compagnons traîtres, ou celle de Jaques de Molay
sur ses assassins, le Pape, le Roi et Noffodai. Dans un certain grade,
celui qui va être initié doit essayer son courage sur le cou et des
têtes garnies de boyaux remplis de sang ; dans un autre grade, celui qui
va être reçu doit couper des têtes placées sur un serpent, ou encore
égorger un agneau en pensant tuer un homme (30ème grade du
Rite Ecossais Ancien Accepté). Ici, il doit engager de sanglants combats
contre des ennemis qui l’empêchent de revenir dans son pays ; là, il y a
des têtes humaines exposées sur des poteaux, il y un cadavre dans un
cercueil, et tout autour, les frères en deuil concertent la vengeance ».
« Ces cérémonies diverses… ont
pour objectif d’enseigner aux adeptes que c’est par la violence que la
Maçonnerie devra détruire ses ennemis : les prêtres et les rois ».
Mais interrompons pour un instant ces
citations que nous transcrivons du Cardinal Caro pour nous demander :
pourquoi la Maçonnerie considère-t-elle les prêtres et les rois comme
ses ennemis, et pourquoi a-t-elle lutté pour les détruire ?
Le lecteur trouvera la réponse à cette question dans la quatrième partie de cet ouvrage, dans laquelle nous démontrons avec une très ample documentation que ce
furent précisément les prêtres et les rois qui pendant quasiment
dix-huit siècles firent échouer l’une après l’autre les entreprises
juives tendant à dominer le monde.
Poursuivons avec ce qu’affirme le Cardinal Caro dans son livre si intéressant :
« Tout le monde connaît l’assassinat de Rossi le ministre de Pie IX, par ses anciens frères de la Charbonnerie ».
« Tout le monde sait qu’Orsini fut chargé
par les loges en 1858 d’attenter à la vie de Napoléon III ; mais le
projet d’assassinat échoua ».
« Au siècle dernier, le chevalier Lescure qui voulut renoncer à la Loge Ermenonville fut empoisonné : « Je meurs victime de cette horde infâme d’Illuminés », dit-il.
« Le 22 octobre 1916, fut assassiné le
comte Sturgkh, chancelier d’Autriche. Fritz Adler, le tueur, était maçon
ou fils de maçon, membre d’une loge de hauts dignitaires maçonniques en
Suisse. Dans sa déclaration, il defendit le droit de se faire justice
par soi même ».
« En France, à l’occasion de l’Affaire
Dreyfus furent assassinés : le capitaine d’Attel qui déposa contre lui,
le député Chaulin Servinière qui avait reçu de d’Attel les détails de la
confession de Dreyfus ; le préfet Laurenceau qui dénonça les sommes
importantes envoyées de l’étranger aux amis de Dreyfus, selon lui pour
suborner ; Rocher, l’employé du président, qui soutenait avoir entendu
Dreyfus confesser en partie son crime. Disparurent aussi rapidement le
capitaine Valerio l’un des témoins contre Dreyfus, et le président Félix
Faure qui s’était déclaré opposé à la révision du procès. Tous les
défenseurs de Dreyfus étaient maçons, tout spécialement les juifs.
« En Suède, le frère maçon Gustave III
fut tué par le frère Ankerström, émissaire de la Grande Loge que
présidait Condorcet, suivant la décision prise par les maçons réunis en
1786 à Francfort sur le Main. [1]
« En Russie, fut assassiné Paul Ier,
maçon lui-même, qui connaissant le danger de la secte des frères
l’interdit strictement. Le même sort et pour le même motif advint à son
fils Alexandre Ier, assassiné à Taganrog en 1825 (cf. Les grands crimes de la Maçonnerie).
Assassinats de profanes.
En France, on lui attribue la mort de
Louis XVI. Le Cardinal Mathieu, Archevêque de Besançon et Mgr Bessan,
Evêque de Nimes ont rapporté dans des lettres connues de tout le monde
les révélations qui leur ont été faites sur la résolution prise en 1787
par le convent de Wilhemsbad d’assassiner Louis XVI et le Roi de Suède.
Ces révélations leur avaient été faites par deux anciens membres de ce
convent.[2]
L’assassinat du duc de Berry [3]…, celui en Suisse du grand patriote et ardent catholique Lew de Lucerne, ont été résolus et exécutés par les sectataires…
« En Autriche, le célèbre attentat de Sarajevo qui déclencha la Grande Guerre[4]
fut décrété, annoncé par avance et exécuté à son heure par la
Maçonnerie. Un Suisse, haut dignitaire maçonnique, s’exprima en 1912 sur
ce fait de la manière suivante : « l’héritier est un personnage de
beaucoup de talent, dommage qu’il soit condamné ; il mourra sur le
chemin du trône ».
Madame de Tebes annonça sa mort pendant
les deux ans qui la précédèrent. Les principaux coupables étaient tous
maçons ».Tout cela, dit Wichtl, ce ne sont pas des suppositions, mais
des faits judiciairement prouvés, qui sont tus intentionnellement « …
« En Allemagne, furent assassinés le
Maréchal Echhorn et son adjoint le capitaine von Dressler le 30 juillet
1918. Le jour d’avant, le quotidien maçonnique de Paris Le Matin
écrivait qu’une société secrète patriotique avait mis à prix la tête
d’Echhorn. On peut même supposer que ce genre de société avait fourni
l’information au Matin.
En Italie, Humbert Ier fut tué par
l’anarchiste Pressi, maçon d’une loge de Paterson,New Jersey aux
Etats-Unis, encore que celui-ci n’était jamais allé en Amérique !. Etait
ainsi mise en pratique l’explication que donnent dans certains grades
les carbonari de l’inscription de la Croix : I.N.R.I. à savoir « Justum Necare Reges Italiae « , c’est à dire : il est juste d’assassiner les rois d’Italie.
« Le 26 mars 1855 tomba assassiné à Parme
le duc Carlos III : l’assassin Antonio Carra avait été choisi et
stimulé par Lemmi le jour d’avant, dans une réunion secrète présidée par
Lemmi, qui fut plus tard Souverain Grand Maître de la Maçonnerie
italienne et mondiale à ce qu’il paraît. Un certain Lippo avait
confectionné un mannequin pour enseigner à donner les coups de poignard
les plus terribles, et l’exécuteur fut tiré au sort.
« Le 22 mai mourut Ferdinand II de Naples
: on l’empoisonna avec un melon, ce qui lui causa une mort atrocement
douloureuse. L’auteur de ce régicide fut un franc-maçon affilié à l’une
des ramifications les plus criminelles de la secte, celle des « Sublimes
Maîtres Parfaits ». Il était disciple de Mazzini et l’une des personnes
les plus respectables de la Cour. Marguiotta n’osa pas rapporter son
nom (Marg. A. L. 21-34) On peut lire chez cet auteur les innombrables
crimes commis par la Maçonnerie en Italie.
Au Portugal furent assassinés le roi
Carlos et son fils Luis. Les maçons préparèrent la chute de la
monarchie. Le vénérable frère maçon Magalhaes de Lima vint à Paris en
décembre 1907, et le frère Moïse, membre du Conseil de la Grande Loge,
le reçut solennellement. Magalhaes donna des conférences, dans
lesquelles il annonçait « le renversement de la monarchie au Portugal et
la prochaine instauration de la République ».
Le célèbre adversaire de la Maçonnerie,
l’abbé Tourmentin écrivit alors que les maçons étaient manifestement en
train de préparer un coup contre la Maison royale portugaise, exprimant
la crainte qu’ils renversent ou assassinent sous peu le Roi Carlos. Dix
semaines plus tard, ses craintes se réalisaient, et l’abbé Tourmentin
accusa publiquement et ouvertement les maçons de cet assassinat. Ceux-ci
préférèrent garder le silence.
« En Amérique, on peut lire dans Eckert [5] quelques détails sur la
persécution dont fut victime Morgan aux Etats-Unis et sur son
assassinat pour avoir voulu publier un livre dans lequel il révélait les
secrets de la Maçonnerie, et sur la destruction de l’imprimerie et la
persécution de l’imprimeur, ainsi que sur d’autres crimes odieux qui
suivirent cet assassinat, et l’indignation publique qu’il y eut lorsque
l’on sut toute la protection que les autorités, maçonnes pour la
plupart, offrirent aux assassins et la faveur avec laquelle les loges
les considérèrent (Eckert,t. II, pp.291 et seq.).
« Est également bien connu l’assassinat du président de l’Equateur Garcia Moreno…
« Il faut lire la description de Taine,
libre-penseur, pour avoir une idée de ce qui se passa en France lorsque
les maçons furent devenus les maîtres en 1789 et durant les trois années
suivantes : il compte plus de 150.000 fugitifs et émigrés ; dans la
seule province de l’Anjou : 10.000 personnes tuées sans jugement ;
50.000 morts dans une seule province de l’Ouest. En 1792 le général
Hoche écrivait au ministre de l’Intérieur : « Il n’y a plus qu’un homme
sur vingt par rapport à la population de 1789″. Il y eut jusqu’à 400.000
détenus à la fois dans les prisons. Plus d’un million deux cent mille
particuliers ont souffert dans leur personne; plusieurs millions, et en
général tous ceux qui possédaient quelque chose, ont souffert dans leurs
biens (Taine, cité par Benoit, F-M., II, p 268, note) « . [6]
Pour plus de précisions on devra lire l’ouvrage de l’Eminentissime Cardinal Caro : « Le Mystère de la Maçonnerie ».
Selon Serge Hutin, historien de la
Maçonnerie, celle-ci assassina aussi Fersen, le respectueux et fidèle
ami de la reine Marie-Antoinette (cf son livre « Governi occulti e societa segrete », ed. Méditerrannée 1973).
(NDT) : Louis XVI et ses frères auraient été eux-mêmes franc-maçons… selon Norman Cohn in « Licenzia per un genocidio »
(Einaudi, Milan 1969, p. 7) ; ceci était le cas de nombreux princes
régnants tout comme d’une grande partie sinon de la majorité de
l’aristocratie française et européenne : trahison de leur mission et
véritable suicide collectif. En 1788, le Grand-Orient de France
comptait 266 loges, toutes sous le contrôle de membres de la secte des
Illuminés, dont faisaient partie ceux qui seront les principaux chefs de
la Révolution : outre le duc d’Orléans, La Fayette, Necker, Duport,
Mirabeau, Barnave, Cazotte, Condorcet, Robespierre, le duc de la
Rochefoucault, Lavoisier, Payne, etc. Mais aussi Babeuf, Cagliostro…
Weisshaupt lui-même s’était caché en France après la découverte de son
complot. L’historien Jean Lombard cite la plupart de ces noms in « La caja occulta de la historia moderna « (ed.
Fuerza Nueva, Madrid 1979), d’après la liste remise par le comte
Vieregg le ministre bavarois au comte Lahrbach, l’ambassadeur impérial à
Munich. Cf aussi Alan Stang in « American Opinion« de février 1972). Selon
Serge Hutin (op. cit. supra), la Révolution dont la France fut le
théatre était conçue comme partie d’un plan international au niveau
européen dont Weisshaupt avait été fait l’administrateur délégué par ses
commanditaires le syndicat bancaire juif dirigé par Amschel Mayer
Bauer, l’ancêtre Rotschild, qui aurait élaboré et pris la décision de ce
plan en 1773 lors d’une réunion tennue à Francfort avec quelques uns de
ses confrères, l’année même de la dissolution de la Compagnie de Jésus (selon l’hebdomadaire La Vieille France, du 3I /3/ 1921 et William Guy Carr in « Pawns in the game » edit. Omni Christian Book USA, en français « Pions sur l’échiquier » ). La réalité du complot international comme vraie cause de la Révolution, énoncée par Augustin Barruel dans son « Mémoire pour servir à l’Histoire du Jacobinisme » et par le Pr. écossais Robison dès 1788 dans « Proofs of a Conspiracy » , et au XXème siècle par N. Webster (« French Revolution » ) longtemps niée par les maçons, est désormais ouvertement revendiquée par eux : cf Serge Hutin (op.cit supra) et avant lui par Gaston Martin, 31è, dans « La Maçonnerie Française et la préparation de la Révolution » (1926) et son « Manuel d’Histoire de la Maçonnerie française »
(1934). George Washington, maçon lui-même, a affirmé l’existence de la
conjuration illuministe internationale et de ses accointances
maçonniques dans une lettre au pasteur G.W. Snyder en 1798 (in « The Writngs of George Washington from the original manuscript souces » pub. USG Washington Bicentennial Commission, 1941).
(NDT) : A noter que le duc de Berry, autre victime de la secte au XIXème siècle, fut lui aussi maçon.
(NDE) : On devrait dire plutôt
« faux-prétexte à la guerre »; celle-ci était si rageusement voulue par
les juifs (Convent de Wilhemsbad de 1862, puis de 1897) que tous les
moyens leur étaient bon pour mener les nations européennes à la
boucherie où elles se sont détruites les unes les autres. Dans le même
temps les juifs préparaient la capture de la Russie.
Pendant
une brève période, au cours de l’occupation Nazie de la France
(1940-1944), la Franc-maçonnerie rencontra sa bête noire. Ce n’était pas
un guerrier mais plutôt un intellectuel.
Bernard Faÿ, un historien
diplômé d’Harvard, un membre du Collège de France et Directeur de la
Bibliothèque Nationale, dirigea une commission d’enquête qui conduisit à
l’expulsion des Francs-maçons.
Travaillant pour le Président de la
France de Vichy, Philippe Pétain, ainsi que pour la Gestapo, Bernard Faÿ
compila une liste de 170,000 francs-maçons, parmi lesquels 989 furent
envoyés en camps de concentration où 549 furent fusillés. En outre,
environ 3000 d’entre eux perdirent leur travail. Tous les francs-maçons
furent obligés par la loi de se déclarer aux autorités.
Faÿ s’empara également des archives
secrètes du Grand Orient à Paris ainsi qu’au sein des loges maçonniques à
travers tout le pays. Il compila ses informations à la Bibliothèque
Nationale et édita un mensuel : Les Documents Maçonniques.
Les articles principaux portaient des titres tels que La Franc-maçonnerie et la corruption des mœurs.
La Franc-maçonnerie contre l’État, et Le Mensonge maçonnique.
En 1943, Faÿ produisit un film intitulé Forces Occultes
qui dépeint la subversion maçonnique à l’œuvre dans le monde entier. Le
film relate la vie d’un jeune député qui intègre le rang des
francs-maçons pour relancer sa carrière. Il apprend ainsi comment la
finance Juive Illuminati en Angleterre et aux États-Unis a utilisé la
Franc-maçonnerie pour impliquer la France dans une guerre contre
l’Allemagne. Le réalisateur Jean Mamy fut exécuté comme collaborateur en
1949. Le film est aujourd’hui disponible sur YouTube.
LA LIBÉRATION
Bien sûr, après que la France ait été « libérée » par les pouvoirs Maçonniques en 1944, les cartes changèrent de mains.
Faÿ fut arrêté et envoyé en camp de
concentration. Lorsqu’il parut enfin pour son procès en 1946, il
n’adopta pas la posture du repenti et se fendit même d’une attitude
provocante.
« Ma plus grande imprudence fut de rester
en France de 1940 à 1944, de rêver à sa régénération, d’y consacrer
toutes mes forces, de risquer ma vie pour cela et d’y croire »,
déclara-t-il.
D’après Barbara Will, l’auteur de Unlikely Collaboration/Une collaboration improbable,
« sans doute l’aspect le plus frappant de son procès, fut la réticence
des procureurs à argumenter avec Faÿ au sujet des opinions politiques
qu’il exprimait encore librement. »
Par exemple, il déclara à la cour que
« pendant des années j’ai considéré la Franc-maçonnerie comme une
institution dangereuse, et sur ce point depuis vingt ans je n’ai pas
varié ni d’opinion ni de langage à son égard. La présence des allemands
n’a eu strictement aucune influence sur mes idées. » (p. 181)
Pour mesurer à quel point la
Franc-maçonnerie est vicieusement ancrée dans l’esprit des gauchistes,
il faut voir comment Barbara Will, une enseignante d’anglais du
Dartmouth College, persiste à décrire la vision de Faÿ comme de la
« paranoïa » et de « l’agressivité ».
Faÿ a eu accès aux archives secrètes du
Grand Orient. S’il a déclaré que leur but est la mise en place d’une
tyrannie mondiale Luciférienne, il était tout sauf mal informé.
Après la guerre, le pouvoir franc-maçon
français enquêta sur plus de 300,000 cas de collaboration. 6783 peines
de mort furent rendues en France et 1600 furent exécutées. Par
contraste, seul 200 à 300 Nazis furent pendu en Allemagne.
Faÿ n’attendait strictement rien de son
procès. Le juge, fit-il remarquer, était un « Israélite et un
franc-maçon. » Étonnamment, il ne fut pas exécuté. Le 6 décembre 1946 à
l’âge de 54 ans, il fut condamné aux travaux forcés à perpétuité.
En 1951, lors d’une convalescence à
l’hôpital de la prison, il s’échappa en Suisse grâce à l’aide de
compagnons anti-maçons. Deux ans plus tard, il fut gracié par Charles de
Gaulle. Néanmoins, il resta en Suisse où il continua à enseigner et à
écrire des livres jusqu’à sa mort en 1978.
CONCLUSION Bernard Faÿ appartenait à la France de l’Ancien Régime,
la vraie France de la Monarchie, de l’Église et de l’armée. Cette
France fut déracinée et détruite par la finance Juive Illuminati et
leurs sbires francs-maçons qui provoquèrent la Révolution Française.
L’histoire moderne est le récit de la
manière dont le pouvoir et la fortune de l’église et l’aristocratie ont
été transférés à la finance Illuminati, par l’utilisation du libéralisme
et des idéaux démocratiques comme prétexte.
L’Allemagne Nazie se devait de montrer
qu’elle était opposée à la Franc-maçonnerie car ses ennemis étaient
contrôlés par la maçonnerie. Bernard Faÿ a saisi ce bref moment pour
essayer de sauver son pays bien aimé. Bien sûr, cette opportunité s’est
rapidement évanouie car les Nazis étaient aussi financés et contrôlés
par les Illuminati.
Conférence de Florian Rouanet donnée
le 26 avril 2013 à un cercle restreint, basée sur l’ouvrage du même nom
rédigé par Arnaud de Lassus de l’AFS [http://afs.e-catho.com/].
Franc-Maçonnerie du 30ème degré, doctrine luciférienne
Pierre Gilbert explique ce qu’est la
Franc-Maçonnerie et sa doctrine luciférienne initiée aux Franc-Maçons du
30ème degré. Les degrés précédents ne sont là que pour créer un climat
de confiance afin d’être endoctriné. Le vrai visage de la
Franc-Maçonnerie n’arrive qu’au 30ème degré où l’initiation doit se
faire en reniant Jésus, la Bible et en donnant sa vie à Lucifer
Franc Maçonnerie, sorcellerie et Lucifer ses origines kabbalistiques
Une étude de Michael Dimond, étayée par de nombreuses références historiques et littéraires.
Le
souvenir d’un crime peut parfois raviver des vérités détonantes que le
grand public abreuvé de mensonges méconnaît. C’est dès lors toute une
représentation de la vérité de ce monde qui s’effondre, à l’image des
tours jumelles du World Trade Center à Wall Street.
Nous
savons, grâce à David Yallop [1], que l’assassinat du pape Jean-Paul
1er fut l’œuvre de la loge P2, 33 jours après le début de son règne, et
que ce meurtre intervint juste après qu’il a évincé deux francs-maçons
de l’Église romaine (Marcinkus et Villot).
Nous apprîmes aussi, par la plume du
journaliste maçon Pier Capri, que Jean XXIII avait été initié dans
l’ordre des Rose-Croix. Divers éléments à charge démontrent que ce
dernier et Paul VI étaient vraisemblablement des francs-maçons.
Pier Capri révéla notamment qu’évêques et cardinaux appartenaient à la loge P2 : «
On l’appelle la loge ecclésiastique et elle est en contact direct avec
le grand maître de la loge unie d’Angleterre, le duc Michael de Kent.
Cette loge agit au Vatican depuis 1971. Plus de cent frères cardinaux,
évêques et monseigneurs de la curie lui appartiennent. Ils parviennent à
maintenir le secret le plus absolu, mais pas au point d’échapper aux
enquêtes des hommes de la puissante organisation de l’Opus Dei. » [2]
Capri nous dit que « cette loge agit au Vatican » après
avoir affirmé que Jean XXIII était maçon. Il dit aussi que ce ne sont
pas des clercs isolés qui lui appartiennent mais plus d’une centaine de
cardinaux et d’évêques ! Il ne proclame pas textuellement qu’elle dirige
Rome, mais on peut toutefois en déduire qu’au minimum elle influe sur
le Vatican – et nous pouvons alors parler de lobby – et au pire qu’elle
en a le contrôle.
Dans
tous les cas, cette Église n’est plus l’Église catholique. Mais pour
d’autres raisons. Sur le sujet, monseigneur Lefebvre fut catégorique : « Le
droit à la liberté religieuse est blasphématoire car c’est prêter à
Dieu des intentions qui détruisent sa Majesté, sa Gloire, sa Royauté. Ce
droit implique la liberté de conscience, la liberté de pensée et toutes
les libertés maçonniques. L’Église qui affirme de pareilles erreurs est
à la fois schismatique et hérétique. Cette Église conciliaire n’est
donc pas catholique. » [3] Relevons au passage que, juste avant le
Concile Vatican II, cette liberté religieuse fut demandée par le B’naï
B’rith auprès du cardinal Béa. Elle fut alors établie au sein de
l’Église romaine et doit être considérée comme une victoire maçonnique.
Revenons à présent sur l’appartenance
maçonnique des précédents chefs de l’Église conciliaire. Lors d’un
entretien réalisé par Louis-Hubert Rémy, le père Malachi Martin
affirma : « Sur l’appartenance de Jean XXIII à la franc-maçonnerie,
toutes les preuves sont dans les archives du Vatican, jalousement
gardées par le cardinal Sodano. Lui-même aurait vu des photos prises par
son chauffeur dévoilant Jean XXIII fréquentant les loges parisiennes.
[…] Jean XXIII fut initié par Vincent Auriol. »
Malachi Martin parla d’une « loge spéciale ». Il ajouta : « Cette
loge est réservée à Rome aux cardinaux en liaison étroite avec le
Grand-Orient. Jean XXIII et Paul VI ont fait partie de la loge spéciale », disait-il. Cette révélation fut confirmée par le franc-maçon mexicain Jaime Ayala Ponce pour qui « Roncalli et Montini ont été initiés aux augustes mystères de la confrérie. »
Concernant les autres chefs de Rome
depuis Vatican II, le bilan n’est pas plus reluisant. D’origine juive,
Benoît XVI fut officiellement soutenu par le B’naï B’rith.
Il reçut d’ailleurs cette secte juive au Vatican tout en faisant
l’éloge de la fraternité inter-religieuse, dans la droite ligne
œcuménique. De plus, Ratzinger écrivit pour un journal maçonnique en
1979. [4] Ses relations étroites avec les hautes sphères mondialistes
furent plus que douteuses. [5] Tout autant que ses poignées de mains à
des francs-maçons notoires. [6]
Quant à cet autre marrane que fut
Jean-Paul II, rien ne prouve qu’il fut franc-maçon sauf qu’à trois
reprises, il reçut chaleureusement au Vatican les représentants du B’naï
B’rith. En mars 1984, avril 1985 et décembre 1990. Dans la revue Fideliter en 1986, monseigneur Lefebvre écrivit qu’il est « au service de la franc-maçonnerie ».
Selon le grand maître de la franc-maçonnerie italienne Armando Corona,
Jean-Paul II appartenait au Rotary Club, à l’instar de l’Argentin
Bergoglio qui est actuellement en place. [7] Remarquons aussi que la
secte satanique des Skull and Bones lui rendit hommage à sa mort.
Concentrons-nous à présent sur
l’argumentation de monseigneur Marcel Lefebvre concernant la
collégialité à la tête de l’Église romaine et l’infiltration maçonnique
dans ses murs : « Je crois sincèrement que nous avons affaire à une
contrefaçon de l’Église et non pas à l’Église catholique. Parce qu’ils
n’enseignent plus la foi catholique. Ils ne défendent plus la foi
catholique. Ils enseignent autre chose. Ce n’est plus l’Église
catholique. Tous ces cardinaux dans les congrégations et toutes ces
secrétaires dans les congrégations, ils sont bien assis là où étaient
leurs prédécesseurs, mais ils ne continuent pas leurs prédécesseurs. Ils
n’ont plus la même foi, ni la même doctrine, ni la même morale que
leurs prédécesseurs. Et principalement, leur grande erreur c’est
l’œcuménisme. Ils enseignent un œcuménisme qui est contraire à la foi
catholique.
Je dirai : que pensez-vous des
anathèmes du Concile de Trente ? Que pensez-vous des anathèmes de
l’encyclique Auctorem Fidei ? Que pensez-vous du Syllabus ? De
l’encyclique Immortale Dei du pape Léon XIII ? Que pensez-vous de la
lettre sur le Sillon par le Pape Pie X ? De l’encyclique Quas primas du
Pape Pie XI ? Mortalium animos du Pape Pie XI contre le faux
œcuménisme ? Que pensez-vous de tout ça ? Qu’ils me répondent sur ces
documents qui définissent notre foi. Ce ne sont pas des documents
quelconques. Ce sont des documents officiels qui engagent l’autorité du
pape. On peut et on doit même croire que l’Église est occupée par cette
contre-Église que nous connaissons bien et que les papes ont condamné.
Depuis bientôt quatre siècles, l’Église ne cesse de condamner cette contre-Églisequi
est née avec le protestantisme et qui est à l’origine de toutes les
erreurs modernes, qui a détruit toute la philosophie, qui nous a
entraîné dans toutes ces erreurs que nous connaissons : libéralisme,
socialisme, communisme, modernisme, sionisme. Nous en mourrons. Les
Papes ont tout fait pour condamner cela.
Et voilà que maintenant, ceux qui sont
sur les sièges de ceux qui ont condamné ces choses-là sont maintenant
d’accord pratiquement avec ce libéralisme et cet œcuménisme. Plus les
choses s’éclairent et plus nous nous apercevons que ce programme, qui a
été élaboré dans les loges maçonniques, on s’aperçoit tout doucement et
avec des précisions de plus en plus grandes, qu’il y a tout simplement
une loge maçonnique au Vatican. Maintenant, quand on se trouve devant un
secrétaire de congrégation ou un cardinal qui se trouve assis dans le
siège où se trouvaient de saints cardinaux qui avaient la foi et
défendaient la foi de l’Église, on se trouve devant un franc-maçon. »
[8]
Le propos fut sincère. L’aveu éloquent.
Mémorable, même. Car il ne vint pas de n’importe qui. Ce ne furent pas
des paroles en l’air, mais celles d’un homme d’Église connaissant très
bien l’institution romaine. Après avoir été minutieusement pré-établi
dans les arrière-loges, notamment celles de la Haute-Vente, le projet de
destruction de l’Église officielle par la contre-Église est arrivé à
son aboutissement. Les choses ne s’étant point arrangées mais empirées,
nous pouvons tirer la même conclusion que cet illustre clerc.
Ainsi, parce qu’il est indéniable que la
(fausse) religion enseignée au Vatican est un protestantisme ayant juste
l’apparence du catholicisme, et parce qu’il est très vraisemblable que,
depuis Jean XXIII, les derniers chefs de Rome furent tous maçons ou
étroitement liés à la franc-maçonnerie (hormis Jean Paul 1er, d’où son
assassinat), nous sommes en droit d’approuver cette évidence, affirmée
par monseigneur Lefebvre dans les années 1970 :
Oui, une loge maçonnique dirige bel et
bien l’Église officielle romaine. Telle une chape de plomb au-dessus des
fidèles. Et ce, pour le grand égarement des âmes depuis 50 ans. Puisse
les Catholiques de cette Église humaine et non divine regarder
honnêtement cette réalité en face. D’autant que l’Église conciliaire
n’est assurément plus l’Église catholique, puisqu’elle enseigne une
autre religion et qu’elle ne contient ni une même foi, ni une même
hiérarchie, ni les mêmes sacrements d’origine. Les francs-maçons et
modernistes à la tête de cette institution sont les premiers
responsables de cette situation désastreuse, car ce sont eux qui, depuis
50 ans, sont à l’origine du scandale.
Johan Livernette, le 10 décembre 2013
Dans Au nom de Dieu, de l’anglais David Yallop.
Dans L’Espresso en décembre 1987.
Le 29 juillet 1976 dans Quelques réflexions à propos de la suspens a divinis.
Comme nous pouvons le voir tous les
jours, la « laïcité » voulue, fomentée et imposée depuis les loges n’est
valable que contre le catholicisme traditionnel de France, et contre
les musulmans. Pour les juifs (« à l’avant garde de la république« , dixit Valls), on peut: « porter fièrement sa kippa » (alors que le voile musulman est devenu un combat central des différents gouvernements) et on peut allumer des ménorahs ça et là, en période de Noël, en France, tandis que les mairies qui implantent des crèches sont poursuivies, rappelées à l’ordre. C’est la loi évidente du deux poids deux mesures qui nous est imposée. Pour combien de temps ?
« Or si nous n’avons pas réussi,
c’est que nous nous sommes occupés du matériel, on a remplacé dans le
fond les aristocrates par les bourgeois, c’est ce qu’il s’était passé au
19ème siècle, mais on a laissé la domination intellectuelle à l’Église
catholique, qui était extrêmement puissante. Et là, ils se disent non,
il faut aussi qu’on s’occupe du spirituel et des consciences. Et je dois
dire qu’il y a une importance déterminante de la franc-maçonnerie dans
cette affaire-là. […]
Donc ils se disent il faut inventer
autre chose, le catholicisme c’est l’oppression, le protestantisme ça
marche pas, et cet autre chose va s’appeler la laïcité. Mais une laïcité
qui, née dans les loges, nourrie de toute cette histoire, va d’abord
apparaître comme une religion laïque, ce terme est employé,
« religion », contre la religion catholique. Et lorsque les
républicains, fondateurs d’ailleurs de la religion laïque, vont prendre
le pouvoir à travers l’école, dans le fond, ils vont, à travers les
instituteurs, à travers les cours de morale laïque qui étaient publiés, à
travers les programmes scolaires, et bien ils vont essayer de
constituer non seulement une République matérielle, mais une République
spirituelle. »
Propos tenus par Vincent Peillon, ministre de l’Éducation nationale.
Kippa et Hijab: Le 2 poids 2 mesures de Valls (du pouvoir en général)
Vidéo d’internaute : La Laïcité Maçonnique en France
C’est le peuple français qui peut faire
la révolution citoyenne. Personne d’autre.Jean-Luc Mélenchon aura un
rôle très important dans la campagne 2012 qui s’annonce virulente vu la
situation politique mondiale, européenne et française. Il suffit
d’ouvrir les yeux pour bien comprendre que ce monde s’écroule mais que
l’oligarchie s’évertue à le sauver en ramassant tout ce qu’elle peut
ramasser, quitte à laisser le peuple exsangue. Plus rien ne l’arrêtera
dans sa tentative de verrouiller leur domination par la soumission des
peuples. On le voit partout il suffit d’ouvrir les yeux.
Mais pour que ce système fonctionne il
lui faut des garde-fous, des acteurs sachant jouer un rôle suffisamment
bien pour faire croire au peuple qu’il incarnera la solution. Dans cette
pantomine politique le sieur Mélenchon, candidat du PG et du PC, aura
le rôle de rassembler autour de lui tous les déçus, tous les citoyens
éveillés qui attendent une autre société et qui veulent la révolution
citoyenne, la vraie. Le rôle de Mélenchon sera donc de préempter cette
soif révolutionnaire qui monte dans le pays et de nous refaire le coup
de 1789, c’est-à-dire surfer sur la colère du peuple pour mettre au
pouvoir les francs-maçons et les juifs comme c’est déjà le cas
aujourd’hui.
Et oui la révolution française est maçonnique et ses lumières sont franc-maçonnes.
Oh des lumières pas si éclairées que cela si on est noir, catholique ou
musulman, les ennemis déclarés de la nouvelle France qu’ils entendent
construire pour l’inscrire dans un gouvernement mondial aligné sur le
projet sioniste.
Au cas où vous ne le sauriez pas la franc-maçonnerie est une religion
avec des temples et ce qui s’apparente à un clergé. Mais contrairement
aux religions traditionnelles, celui-ci est occulte. Il fait partie
intégrante de la république mais nul ne doit le savoir. Les temples
maçonniques sont des allégories à la gloire de l’ancienne Égypte et
d’israël via le temple de Salomon. Qu’est-ce cela à voir avec la
république française quand on y réfléchit?
A ce sujet je vous invite à regarder cette série vidéo expliquant
pourquoi le temple de Salomon est au cœur du projet sioniste et par là
même mondialiste. Tous ceux qui veulent un gouvernement mondial se
réfèrent au Talmud et au temple de Salomon:
La France est de civilisation chrétienne,
elle s’est construite sur un principe catholique qu’on le veuille ou
non. Or la franc-maçonnerie et le talmud sioniste entendent éradiquer de
notre culture toutes références à notre passé en réécrivant l’histoire
pour mieux nous intégrer de force dans un empire anglo-saxon dominé par
la pensée protestante et juive talmudiste. On comprend donc mieux
pourquoi pour JL Mélenchon, et ses frères, l’ennemi déclaré est l’autre
pouvoir moral sur les esprits incarné par la religion catholique, et
maintenant par la religion musulmane qui résiste à la soumission.
Il faut aussi bien commencer par admettre que JL Mélenchon est un
franc-maçon et en tant que tel il suit une ligne et rend des comptes à
ses maîtres:
Mélenchon est donc un frère en mission
c’est clair. Et quelle sera sa mission prioritaire? Empêcher le
rassemblement national du peuple français pour éviter qu’il fasse
VRAIMENT la révolution citoyenne. Comment? En tapant sur le Front
national bien sûr! En le faisant passer pour un parti fasciste et
raciste, alors que tous ses amis autour de lui le sont! N’est-ce pas
dans la bouche des Voltaire, des Ferry qu’on a pu lire les pires mots
contre les « sauvages » noirs? N’est-ce pas eux qui sont à l’origine de
l’esclavage avec leur « frères » juifs? N’est-ce pas les juifs qui se
prétendent être un peuple élu? Symbole même du plus haut racialisme
anti-humain possible sur cette Terre.
Dans le même temps ils sont immigrationnistes et massivement en plus.
Ils veulent mélanger les peuples parce qu’ils ont bien compris qu’il
fallait dissoudre le nationalisme pour pouvoir diriger ce monde et le
soumettre au vrai fascisme qu’est le mondialisme. Pour cela Mélenchon
sera sur la même ligne politique que l’UMPS et tous les gauchistes qui
vont se lever pour défendre les sans-papiers sans comprendre, du moins
je l’espère, que ce sont des futurs esclaves pour ces même grands
patrons juifs et franc-maçons.
Or la révolution citoyenne comme on a pu le constater dans tous les pays
du monde est d’abord un soulèvement national! C’est une revendication
identitaire culturelle appuyée bien sûr sur des conditions économiques,
sociales et sociétales indignes. Mais les tunisiens, les égyptiens, les
algériens revendiquent leur appartenance à leur pays. Ils le veulent
fier et digne! Ils veulent changer LEUR pays.
En Grèce, au Portugal, en Espagne et ailleurs c’est la même chose. Ce
sont les drapeaux des pays qu’on brandit pour faire la révolution car
c’est le symbole de l’unité du peuple contre son oligarchie…mondialiste.
Vous pensez que Papandréou, président de l’internationale socialiste,
agit pour le peuple grec vous?
En France ce devrait être la même chose mais cela nous est interdit!
Interdit de brandir le drapeau français car c’est fasciste, raciste et
antisémite! On comprend bien…Notre oligarchie ne travaille pas pour le
peuple français mais pour l’empire mondialiste.
L’oligarchie a pour mission de détruire tout sentiment nationaliste dans
les nations pour mieux les dominer. C’est cela qu’il nous faut
comprendre…et admettre!
Cela ne vous étonne pas vous que l’empire
dise aider des patriotes libyens ou syriens et qu’il nous refuse le
droit, à nous, d’être fiers d’être français? C’est cela l’enjeu du
nouvel ordre mondial. C’est l’empire contre les nations tout simplement.
Un empire tout puissant qui imposera sa propre loi aux peuples du
monde. Comme il le fait visiblement en Grèce et il ne s’arrêtera pas
parce que c’est son projet.
Dans cette vision de la réalité de notre monde Mélenchon joue donc le
rôle de l’impossible union du peuple français contre les banksters,
alors qu’il a bien compris que la révolution citoyenne se fera contre
les banques. Mais la stratégie trotskiste depuis toujours est de
détruire les nationalismes. C’est ce qu’applique le gauchisme ambiant
que je dénonce vigoureusement en s’attaquant prioritairement au peuple
français qui revendiquerait son nationalisme! Même un Chevénement, qui
fait pourtant une bonne analyse sur la soumission du peuple français à
l’empire américain, va se heurter de plein fouet au seul parti qui se
revendique ouvertement nationaliste dans notre pays. Autrement dit le
gauchisme est entièrement entre des mains anti-révolutionnaires. ON VOUS
MENT! Le camp du progrès ce n’est pas la gauche puisqu’elle démontre
chaque jour qu’elle sera dans le camp de la guerre impériale comme elle
l’a démontré encore le vote abject du PS en soutien à la guerre en
Libye.
Comprenez donc bien que le mondialisme
que l’oligarchie vous fait miroiter n’est en rien un humanisme! Ce sera
bien au contraire votre soumission la plus totale. On vous contrôlera à
coups de puces électroniques et on enverra l’armée dans les quartiers
pour vous empêcher de vous révolter. De vous révolter contre les
injustices de plus en plus criantes et abjectes. N’est-ce pas cela le
vrai fascisme? La pensée unique, le chemin unique. Ne sommes-nous
pourtant pas tous différents? Si nous acceptons la disparition de nos
nations alors nous accepterons la disparition de nos différences, de nos
richesses diverses et variées. Le métissage c’est bien quand il tire
vers le haut, pas quand il abolit les signes de diversité dans un
maelström à la sauce américaine.
Illuminisme, Francs-Maçons et N.O.M.
Bibliographie (en cours)
La Révolution Mondiale, Le complot contre la civilisation
Le
Communisme judéo-maçonnique, sous la forme d’un bolchevisme déguisé,
tient aujourd’hui en esclavage mental ou physique, ou les deux à la
fois, la quasi-totalité de la population mondiale. Il a su gagner des
adeptes parmi les idéalistes et les enragés stipendiés (écologistes ou
autres) qui voient en lui un modèle de société qui mettra fin à la
pauvreté et apporterait une distribution équitable des richesses sans
nuire à la planète.
Plus les preuves de la conjuration s’accumulent, plus elles sont
authentifiées, ce qui est un comble, par d’orgueilleux aveux et des
déclamations outrecuidantes des fils de l’Homicide, et plus les procès
et les calomnies sont montés contre les témoins vivants ou morts qui
dénoncent le mensonge, l’imposture, la perversité en marche et la
tyrannie mondialiste. Nurenberg a servi de ballon d’essai ; et l’essai,
comme on dit, a été transformé sous nos yeux.
Nous pensons que ce livre est capital et
justifie ce travail de mise en ligne, car sa lecture éclaire l’actualité
politique, économique, culturelle et sociale. Ce grâce à l’important
travail de recherche historique qu’a nécessité la rédaction de cet
ouvrage, que vous ne trouverez bien entendu pas dans les librairies du
« système ». Ah ! Le « système » d’ailleurs, parlons-en… voilà bien un
mot fréquemment employé, mais combien de gens savent le définir ? Et
bien après avoir lu ce livre, vous saurez de quoi il s’agit. Et même si
vous êtes déjà tout à fait au courant de ce qui se passe « derrière le
rideau », nous sommes certains que ce livre vous apportera des
informations rares à propos de différents épisodes tragiques de
l’Histoire.
Alors à qui profitera ce
livre ? A tous, tout simplement. De par le caractère mondial des faits
évoqués, il n’y a pas un peuple, pas une culture, pas une religion, pas
une nation qui ne puisse se sentir concerné et apprendre des choses dans
ce livre. Les maçons sauront pourquoi ils œuvrent. Les juifs verront
quelles horreurs peuvent engendrer leurs croyances erronées. Les adeptes
de l’islam, trouveront des éclaircissements sur certaines périodes de
leur Histoire. Et bien sûr les catholiques, auxquels le système fait
tout pour leur faire perdre la foi et qui sauront ainsi d’où vient le
danger… Ou encore tous les peuples restant sous le joug du communisme
ou menacés par lui et ceux qui le furent et dont les bourreaux d’hier
sont toujours libres, etc…
(…) Enfin, l’auteur aborde la
responsabilité, de la maçonnerie dans la Première – et sanglante –
Guerre mondiale, qui s’éclaire ainsi d’un jour singulier. puis, après un
chapitre consacré à la F.·.-M.·. anglo-saxonne (où il montre l’erreur,
trop souvent émise, de son innocuité), et un autre traitant de
l’influence judaïque dans la secte, l’auteur conclut avec une sévérité
fondée.
Il faut souligner que la majeure partie
du texte est composée de citations d’auteurs maçonniques d’une autorité
incontestable, ou de documents, de même source, dont l’authenticité est
absolue. Mais ce qu’il faut surtout remarquer dans l’ouvrage de Léon de
PONCINS, c’est le calme, la pondérance du ton. Même là où il s’élève
avec le plus de rigueur contre ses adversaires, il sait garder une
modération qui donne à l’ouvrage l’allure – et la force – d’un document
historique, appuyé par une argumentation irréfutable. »
Maçonnerie et sectes secrètes le côté caché de l’histoire
« Honoré de Balzac, qui lui aussi était martiniste, écrivait dans son roman Les illusions perdues
: il y a deux histoires : l’histoire officielle, mensongère, qui nous
est enseignée, l’histoire « ad usum delphini » et l’histoire secrète, où
se trouvent les causes véritables des événements, une histoire
honteuse.
« Cette histoire honteuse » souvent
ruisselante de sang, est l’objet de ce livre qui décrit de façon
détaillée, à partir de documents sûrs, comment depuis plusieurs siècles
de puissants cénacles antichrétiens (la maçonnerie, le B’nai Brith, le
Bilderberg Group, la Trilatérale…) d’inspiration hermético-cabaliste,
s’acharnent de façon efficace à saper et à détruire les fondements mêmes
de la civilisation européenne. Inspirée par la puissance des ténèbres,
cette véritable Contre-Eglise s’est peu à peu emparée de tous les
centres de pouvoir religieux, politique, économique et culturel.
Ses caractères sont ceux de la Haute Loge
et de la Haute Finance : Haute Loge où domine le mage à travers
l’ésotérisme et la magie qui planifie, dirige, impose des corrections de
route, et Haute Finance qui, concentrant dans ses mains, chaque jour un
peu plus, toutes les richesses mondiales, les oriente dans le but de la
domination mondiale que poursuit la Haute Loge.
En s’appuyant sur des dizaines et des
dizaines d’oeuvres et de documents rares, le présent ouvrage dénonce le
complot mondial, en indiquant finalement les moyens pour lutter et ne
pas céder au découragement. Une oeuvre de longue haleine, indispensable à
tout véritable chercheur de la vérité des faits.
Les Brigandes – La loge des Jacobins
Clip et musique satirique
LIENS
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CHAPTAL, Jean-Antoine (1756-1832). Ce grand chimiste fut, sous l'Empire, grand officier du Grand Orient de France. FOUCHÉ,
Joseph, duc d'Otrante (1759-1820). Il se rallia à Bonaparte lors du 18
Brumaire. Ministre de la Justice puis de la Police pendant les
Cent-Jours, il fréquenta avant 1789 une loge à Arras. FRANKLIN,
Benjamin (1706-1790). Membre associé de l'Académie des sciences de
Paris, signataire - parmi 13 - de la Constitution des Etats-Unis, il
négocia le soutien de la France aux insurgents. Initié en 1731 à
Philadelphie, il fut vénérable d'une loge à Paris. GOETHE, Johann, Wolfgang von (1749-1832). L'immense poète allemand fut initié dans une loge de Weimar, en 1780.
Goethe
Wikimedia Commons
GUILLOTIN,
Joseph Ignace (1738-1814). Médecin et homme politique, non point
inventeur de la guillotine, mais ayant contribué à faire adopter son
usage général par la Convention pour des raisons humanitaires, au vu des
souffrances des condamnés malmenés par des bourreaux maladroits. Il fut
initié à Angoulême. HAYDN, Joseph (1732-1809).
Le premier grand compositeur symphonique autrichien fut invité à entrer
dans la francmaçonnerie par Mozart lui-même et initié à Vienne en 1785. LA FAYETTE,
Marie Joseph du Motier, marquis de (1757-1834). Soutien passionné de
l'amitié accordée aux insurgents américains, ce noble libéral tenta
d'orienter la Révolution vers une monarchie constitutionnelle. Initié en
1775, il fréquenta cinq loges. MONTESQUIEU, Charles Louis (1689-1755). L'auteur des Lettres persanes et de De l'esprit des lois fut initié, en 1730, à Londres. A ce titre, c'est l'un des premiers francs-maçons français. MONTMORENCY-LUXEMBOURG,
Anne Charles Sigismond, duc de (1737-1803). Après la mort du grand
maître en 1771, le premier baron de France devint administrateur général
du Grand Orient de France, dont il fut le véritable chef. MOZART, Wolfgang
Amadeus (1756-1791). Le compositeur de génie fut initié en 1784 à
Vienne. Mozart a composé de la musique pour le rituel maçonnique. ORLÉANS,
Louis-Philippe Joseph, duc d'Orléans, dit Philippe Egalité (1747-1793).
Duc de Chartres en 1752, puis duc d'Orléans en 1785, il avait été élu
en 1771 grand maître de la première Grande Loge de France, baptisée
Grand Orient de France en 1773. Marquant peu d'intérêt pour cette
fonction, il laissa Montmorency-Luxembourg le diriger à sa guise.
Le duc d'Orléans
Wikimedia Commons
RAMSAY, André Michel, chevalier "de" (1686-1743). De souche écossaise, écrivain, il rédigea un Discours,
en 1736- 1737, qui fit de lui une des références fondatrices de la
franc-maçonnerie en France. Il fut initié à Londres, en 1730, dans la
même loge que Montesquieu. ROUGET DE L'ISLE, Claude Joseph (1760-1836). Officier du génie, auteur dramatique et poète, il écrivit en 1792 le Chant de guerre pour l'armée du Rhin, rebaptisé La Marseillaise. Il a appartenu à une loge de Charleville. VOLTAIRE,
François-Marie Arouet, dit (1694-1778). L'écrivain ne fut initié dans
une loge parisienne que le 7 avril 1778, soit très peu de temps avant sa
mort. Souvent critique et même sarcastique à l'égard des francs-maçons
durant sa vie, Voltaire se laissa faire plus qu'il ne désira rejoindre
la fraternité maçonnique.
Voltaire
AFP
WASHINGTON,
George (1732-1799). Le premier président des Etats-Unis, entre 1789 et
1796, avait été initié en 1752, dans un atelier de la Grande Loge de
Virginie, dont il devint grand maître en 1779. WELLINGTON,
Arthur, duc de (1769-1852). Ce général britannique, l'un des vainqueurs
de la bataille de Waterloo - où les francs-maçons furent nombreux parmi
les militaires de haut rang dans les deux camps -, avait été initié en
1790 en Irlande.
XIXe siècle
ABD EL-KADER BEN MUHIEDDINE (1808-1883).
Emir algérien, soufi, il mena la guerre contre les conquérants français
en Algérie de 1832 à 1847. Il fut initié en 1864 dans une loge du Grand
Orient de France, à Alexandrie. BAKOUNINE,
Mikhaïl Alexandrovitch (1814-1876). Prince, philosophe et anarchiste
russe, il théorisa le socialisme libertaire et influença le syndicalisme
révolutionnaire. Il fut initié en 1845 et demeura comme l'un des
symboles des relations entre l'anarchisme philosophique non violent et
la franc-maçonnerie, à la fin du XIXe siècle. BLANC, Louis
(1811-1882). Journaliste républicain et pamphlétaire, membre du
gouvernement provisoire de février 1848, il se distingua comme un
pionnier du "droit au travail". Exilé à Londres en 1849, c'est là qu'il
choisit d'être initié. Historien approximatif, il a alimenté la fable
selon laquelle la franc-maçonnerie aurait donné sa devise "Liberté,
Egalité, Fraternité" à la République: c'est en réalité l'inverse qui
s'est produit.
Louis Blanc
Wikimedia Commons
COMBES,
Emile (1835-1921). Fils d'un modeste tailleur du Tarn, il devint
président du Conseil en 1902, fédérant le bloc des gauches, après avoir
été initié en 1896 à Barbezieux. L'"affaire des fiches", qui emporta
alors son gouvernement, avait un fondement maçonnique: le général André,
ministre de la Guerre, avait demandé au Grand Orient de France de
"ficher" les officiers suspects d'hostilité à la République. FAURE,
Félix (1841-1899). Issu d'un milieu modeste, il fut président de la
République française de 1895 à 1899, où il eut à gérer l'affaire
Dreyfus. Il était membre d'une loge du Havre. FERRY,
Jules (1832-1893). Avocat, il fut député des Vosges, maire de Paris et
président du Conseil puis du Sénat. Le promoteur de l'école "laïque,
gratuite et obligatoire" fut initié en 1875 à Paris. GAMBETTA,
Léon (1838-1882). Fils d'épiciers italiens, il joua un rôle majeur au
sein du gouvernement de la Défense nationale en 1870-1871. Il fut initié
en 1869 à Marseille. LISZT, Franz (1811-1886).
Pianiste et compositeur hongrois, il s'installa à Paris dès 1823. Il fut
initié en 1841 dans une loge de Francfort-sur-le-Main. MICHEL,
Louise (1830-1905). Institutrice, anarchiste et libertaire, la "Vierge
rouge" s'engagea activement pendant la Commune. Elle fut initiée au soir
de sa vie, en 1904.
Louise Michel
Wikimedia Commons
POUCHKINE, Alexandre
Sergueïevitch (1799-1837). Le poète russe fut initié en 1821, à
Kichinev, peu avant l'interdiction de la maçonnerie en Russie. PROUDHON, Pierre Joseph (1809-1865). Ouvrier typographe, philosophe et théoricien du socialisme, il publia en 1840 un brûlot intitulé Qu'est-ce que la propriété?
- on connaît sa réponse: "C'est le vol." Il fut initié en 1847, à
Besançon, mais son activité maçonnique semble avoir été nulle. RASPAIL, François
Vincent (1794-1878). Chimiste et médecin, républicain militant, il fut
initié en 1821, dans une loge constituée de carbonari - membres d'une
société secrète politique d'origine italienne, inspirée par la
franc-maçonnerie mais bien distincte d'elle - et de républicains. ROTHSCHILD,
Nathan Meyer (1777-1836). Financier anglo-allemand, il établit à
Londres la plus importante succursale de la banque de commerce fondée
par son père et fut initié en 1802. Son frère le baron James
(1792-1863), également franc-maçon, fonda la succursale de Paris.
D'autres membres de cette illustre famille furent francs-maçons. SCHOELCHER,
Victor (1804-1893). Homme politique, il fut très tôt partisan de
l'abolition de l'esclavage dont il obtint le vote alors qu'il était
sous-secrétaire d'Etat à la Marine dans le gouvernement provisoire de
1848. Il fut initié avant 1848 à Paris. STENDHAL, Henri Beyle, dit Stendhal (1783-1842). Officier sous Bonaparte, puis auditeur au Conseil d'Etat, l'auteur du Rouge et le noir et de La Chartreuse de Parme fut initié en 1806. Il ne paraît pas avoir eu de grande activité maçonnique. WILDE, Oscar
O'Flahertie Wills (1854-1900). Ecrivain et auteur dramatique d'origine
irlandaise. Il a été initié en 1875, dans une loge d'Oxford. Il ne
paraît pas lui avoir attaché une importance réelle...
XXe siècle
ALLENDE, Salvador
(1908-1973). Médecin, président du Chili de 1970 à 1973, il fut tué
lors du coup d'Etat du général Pinochet, un autre franc-maçon. Il était
membre d'une loge à Valparaiso.
Salvador Allende
Reuters
BERTRAND,
Xavier (1965-). Ancien ministre, député de l'Aisne, il a assumé
publiquement et courageusement son appartenance au Grand Orient de
France dans le journal L'Express, permettant ainsi à des hommes
politiques de droite de s'engager dans la voie de la transparence. BLONDEL, Marc
(1938-2014). Secrétaire général de Force ouvrière, il fut aussi
président de la Libre pensée. Initié en 1961 au Grand Orient de France,
il fut une figure marquante de l'histoire du syndicalisme français
indépendant, par sa gouaille et sa personnalité. BONGO,
Omar (1935-2009). Militaire, devenu président de la république du
Gabon, il fut initié à Angoulême au Grand Orient de France, avant d'être
le grand maître de la Grande Loge du Gabon en 1983. BROSSOLETTE, Pierre (1903-1944). Professeur d'histoire, journaliste au Populaire,
il entra dans la Résistance au début de la guerre. Arrêté en 1944, il
se suicida sans avoir parlé. Il avait été initié en 1927 dans une loge
de la Grande Loge de France, avant de s'affilier au Grand Orient de
France. CHARASSE, Michel (1941-). Ancien
ministre, ancien sénateur, membre du Conseil constitutionnel, c'est une
figure laïque bien connue. Il est souvent présenté comme un frère... ce
qui l'amuse beaucoup. CHIRAC, Jacques
(1932-). Ancien président de la République, il a été souvent soupçonné,
à tort, d'être un frère. Son grand-père fut en revanche vénérable d'une
loge du Grand Orient en Corrèze. CITROËN, André
(1878-1935). Ingénieur et créateur de la marque automobile qui porte
son nom. Il fut initié en 1904 dans une loge parisienne, dont il fut
radié en 1919.
André Citroën
AFP
COLLOMB,
Gérard (1947-). Maire de Lyon et sénateur socialiste, il a été le
premier homme politique français à avoir publiquement indiqué, avec ses
colistiers, qu'il était franc-maçon au Grand Orient de France, avant sa
première élection, en 2001. DELANOË, Bertrand
(1950-). Ancien maire de Paris et ancien député, il a été initié mais
n'est resté que quelques années au Grand Orient de France. DOYLE,
sir Arthur Conan (1859-1930). Médecin puis écrivain, le père de
Sherlock Holmes avait été initié à Portsmouth. Son oeuvre fourmille
d'allusions maçonniques. ÉDOUARD VIII
(1894-1972).Roi d'Angleterre en 1936, francmaçon, comme la plupart des
membres de la famille royale, il reste célèbre pour avoir abdiqué moins
d'un an après son couronnement, afin d'épouser l'élue de son coeur que
son divorce précédent rendait indigne d'être reine, selon l'étiquette
britannique. FLEMING, Alexander (1881-1955).
Découvreur de la pénicilline, il obtint le prix Nobel de médecine en
1945. Il fut également premier grand diacre de la Grande Loge unie
d'Angleterre. FORD, Gerald Rudolph (1913-2006).
38e président des Etats-Unis, de 1974 à 1977, successeur de Richard
Nixon après la démission forcée de ce dernier à la suite du scandale du
Watergate, il fut initié en 1949 dans le Michigan. HARDY,
Oliver (1892-1957). Acteur de cinéma formant un inoubliable duo avec
Stan Laurel, il était membre d'une loge à Jacksonville, en Floride. KIPLING,
Rudyard (1865-1936). Romancier, il est l'auteur de poèmes maçonniques
célèbres ainsi que de contes à résonance initiatique, comme Le Livre de la jungle.
Il reçut le prix Nobel de littérature en 1907. Après son initiation en
1887 à Lahore, en Inde, son activité maçonnique fut paradoxalement
brève. LINDBERGH, Charles (1902-1974). Pionnier
de l'aviation, il réalisa la première traversée en solitaire de
l'Atlantique. Il fut initié en 1926 à Saint Louis, Missouri. MÉLENCHON, Jean-Luc
(1951-). Ancien ministre, ancien sénateur, député européen, il est
fondateur du Parti de gauche et cofondateur du Front de gauche. Initié
en 1983 au Grand Orient de France, il semble considérer que, si son
appartenance n'est en rien secrète, son activité relève de son
engagement personnel, qu'il commente fort peu.
Jean-Luc Mélenchon
afp.com/LOIC VENANCE
MENDÈS FRANCE,
Pierre (1907-1982). Député radical de l'Eure, gouverneur du Fonds
monétaire international en 1947 puis président du Conseil en 1953, il
mit fin à la guerre d'Indochine. Initié en 1928 à Pacy-sur-Eure, il se
mit en sommeil de son appartenance maçonnique en 1945 après qu'on lui
eut demandé de fournir des preuves de sa parfaite conduite pendant la
guerre. PRATT, Hugo (1927-1995). Immense auteur de bandes dessinées et créateur notamment de son héros Corto Maltese, il publia en 1977 Fable de Venise où son héros croise la loge Hermès dans laquelle Hugo Pratt avait lui-même été initié, à Venise. RAMADIER,
Paul (1888-1961). Initié en 1913, à Rodez, il participa à la Résistance
et fut ministre du Ravitaillement de De Gaulle en 1944 et président du
Conseil des ministres en 1947.
Allégorie de la queue du Mickey
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A l’époque où je n’étais
qu’un enfant, la queue du mickey était ce machin qui donnait droit à un
tour de manège gratuit quand on parvenait à l’attraper. Je me souviens
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Y'a-t-il un gène gay ? Fin d'une légende Urbaine
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