La signification des messages cryptés de la couverture «Le monde en 2019» de «The Economist»
Un regard sur le symbolisme énigmatique que l’on retrouve sur la couverture de «The World in 2019» de «The Economist» qui inclut les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse. Qu’est-ce qu’ils essaient de nous dire ?
Chaque
année en décembre, le célèbre magazine «The Economist» publie un numéro
spécial qui prédit les tendances et les événements de l’année à venir.
Et à chaque fois, la couverture de ces éditions est une collection
élaborée d’images faisant référence à des personnes et des concepts
différents. Si la signification de certaines de ces images est évidente,
d’autres semblent être codées pour «ceux qui sont au courant». L’édition de cette année ne fait pas exception. En fait, elle est plus énigmatique que jamais.
Pourquoi
quelqu’un passerait-il du temps à déchiffrer ces reprises ? Parce que
«The Economist» n’est pas n’importe quelle publication – elle est
directement lié à l’élite mondiale. Elle appartient en partie à la famille bancaire Rothschild et son rédacteur en chef, John Micklethwait, a participé plusieurs fois à la conférence Bilderberg.
Bref, les dirigeants de «The Economist» ont une connaissance
approfondie du programme de l’élite, et ils font de leur mieux pour le
promouvoir.
Ces
couvertures sont souvent remplies de symbolisme occulte élitiste et de
messages subtils sur les nombreuses façons dont l’élite contrôle la
masse. L’édition 2019 est plus flagrante que jamais.
«Le monde en 2019» :
Ceci est la description publiée par «The Economist» sur son site officiel :
«Le Monde en 2019 s’appuiera sur trois décennies de succès éditorial : ce sera la 33e édition. Il se penchera sur les perspectives de l’administration Trump avec un nouveau Congrès, la réalité du Brexit, les élections en Inde, en Indonésie, au Nigeria et dans toute l’Europe, les perturbations technologiques de l’IA et de la Chine (2019 pourrait-elle être le « pic Sillicon Valley » ?), le voyage spatial 50 ans après l’alunissage, la culture 500 ans après Leonardo da Vinci.»
Notez
que la description soulignait le fait que «ce sera la 33e édition».
Pourquoi mettre l’accent sur ce fait numérologique ? Est-ce parce que 33
est le nombre le plus important dans la franc-maçonnerie ? Cela serait
logique car la couverture présente un symbolisme maçonnique intense à
travers les œuvres de Léonard de Vinci.
Léonard de Vinci :
Le
thème principal de cette couverture est Léonard de Vinci car 2019
marquera le 500ème anniversaire de sa mort. En tant que tel, le style
artistique est fait pour ressembler à un manuscrit de Vinci.
Le
premier détail que l’on peut remarquer est l’écriture miroir. Pourquoi
tout est écrit à l’envers ? Eh bien, de Vinci écrivait souvent en
écriture miroir et la raison pour laquelle il l’a fait reste un mystère.
Certains prétendent qu’il ne voulait pas tacher l’encre pendant qu’il
écrivait ; d’autres croient qu’il ne voulait pas que d’autres personnes
volent ses idées.
Ceux qui ont fait des recherches sur les penchants
occultes de Vinci croient que son écriture inversée pourrait avoir
quelque chose à voir avec sa tentative de dissimuler la connaissance
ésotérique. En son temps, ceux qui accusaient de Vinci d’être un
hérétique appelaient même son écriture miroir «écrits du diable». Dans
les cercles occultes, l’écriture miroir est souvent associée au
satanisme et à la magie noire, basée sur l’inversion des symboles.
Jetons un coup d’œil au symbolisme de la couverture.
L’homme de Vitruve :
Au
centre de la couverture se trouve «l’Homme de Vitruve», la célèbre
esquisse de Vinci représentant un homme allongé à l’intérieur d’un
cercle et d’un carré. On dit que c’est une représentation de «l’homme
parfait».
Alors
que «l’homme de Vitruve» est souvent décrit comme une «étude des
proportions humaines», il porte une signification symbolique beaucoup
plus profonde dans les cercles occultes – en particulier dans la
franc-maçonnerie. Il représente ésotériquement le corps humain (le
microcosme) comme un reflet de l’univers entier (le macrocosme) – un
principe hermétique résumé par le dicton «Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas».
L’esquisse
de Léonard de Vinci s’inspire des œuvres de Vitruve, architecte romain
considéré comme le «Premier Grand Maître» de la Franc-maçonnerie. Assez
opportunément, l’homme de Vitruve décrit visuellement le but ultime de
la franc-maçonnerie : La quadrature du cercle.
Dans
le symbolisme maçonnique, le carré représente le corps physique et le
cercle représente l’âme. Sur une échelle plus large, le carré représente
le monde matériel, tandis que le cercle représente le monde spirituel.
Un des buts de la Franc-maçonnerie est d’harmoniser ces deux mondes
opposés (physique et spirituel) pour créer «l’homme parfait». Ce concept
est pleinement représenté dans le logo de la Franc-maçonnerie.
Le
logo de la franc-maçonnerie combine un carré et un compas – deux outils
utilisés en architecture. L’équerre sert à dessiner des carrés tandis
que la boussole sert à dessiner des cercles. En «quadrillant le cercle»,
il est dit que le Franc-maçon atteint la divinité.
Je
n’irai pas plus loin dans les liens entre da Vinci et l’occultisme
parce que cela nécessiterait un livre entier (et je ne parle pas du da
Vinci Code). Rappelons que, pour sa 33e édition de fin d’année, «The
Economist» présente un «l’homme de Vitruve moderne».
«l’homme
de Vitruve 2019» porte des lunettes de vision nocturne, ou peut-être un
casque VR. Sa vue s’améliore-t-elle ou est-il aveuglé ? Dans ses mains,
il tient une feuille de cannabis, une balle de baseball et un téléphone
intelligent. On pourrait soutenir que toutes ces choses sont utilisées
pour distraire et pacifier l’homme moderne à travers les compagnies
pharmaceutiques, les grandes technologies et le divertissement.
«L’homme
de Vitruve» a aussi deux tatouages. Sur son avant-bras se trouve une
double hélice, le symbole représentant l’ADN. Il s’agit très
probablement d’une référence à l’intense recherche sur la modification
de l’ADN menée dans le secteur privé. L’ADN de l’homme de Vitruve a-t-il
été altéré ?
Sur son cœur est tatoué
«#MeToo». Bien que le mouvement #metoo ait mis au jour certains
monstres d’Hollywood, il a également créé un climat de censure et de
répression où de nombreuses personnes ont accusé, jugé et condamné à
l’expulsion dans la sphère publique.
Sur
une note quelque peu similaire, l’homme de Vitruve tient une balance –
un symbole classique représentant la justice. Cependant, l’échelle est
fortement inclinée sur le côté qui a 5 personnes contre 4. S’agit-il de
la Cour suprême des États-Unis, qui a récemment obtenu un nouveau juge
controversé, ou s’agit-il simplement de la justice en déséquilibre pour
2019 ?
Dans l’ensemble, l’homme de
vitruve moderne semble être aveuglé, affaibli, distrait et réprimé. Le
cercle autour de lui qui symbolisait autrefois le monde spirituel est
maintenant la Terre. L’homme de Vitruve a-t-il perdu son âme ? Se
préoccupe-t-il maintenant uniquement des questions terrestres ?
Reconnaissance faciale :
La
couverture présente une réplique exacte de l’esquisse de Léonard de
Vinci analysant les proportions de la tête humaine. Au-dessus de l’image
est écrit (à l’envers) «Reconnaissance faciale», qui est la prochaine
étape dans la technologie de surveillance «Big Brother»
( Note ExoPortail
: Entre et au dessus de ces deux visages se trouve le Fujiyama
symbolisant le Japon, ou sera mis en place à grande échelle en 2020,
pour les Jeux Olympiques un système de reconnaissance faciale. )
La couverture de «The Economist» analyse également les proportions de la tête de Donald Trump.
( Note ExoPortail
: Le fait que le visage de Trump soit aligné avec le dessin de la
«reconnaissance faciale» peut aussi indiqué qu’il est surveillé, voir
«tenu en laisse», juste une hypothèse )
Pipelines de Poutine :
L’autre
chef d’État figurant sur la couverture est Vladimir Poutine avec les
mots «pipelines de Poutine». Il s’agit d’une référence aux gazoducs qui
sont construits par la Russie, en Syrie, dans les États post-soviétiques
et même en Europe. NordStream 2, un gazoduc reliant donc la Russie à
l’Allemagne, qui devrait être achevé en 2019. Ce projet très contesté a
été considéré comme un «acte de trahison» de la part de l’Allemagne, car
les critiques disent qu’il va laisser l’Europe à la merci de l’énergie
russe.
TurkStream, un gazoduc
Russie-Turquie, a été lancé en novembre 2018 et contribuera à consolider
l’économie de la Russie et son influence régionale.
( Note ExoPortail : Ces projets semblent donc beaucoup inquiéter la Cabale et semblent être une menace sérieuse à une de leur rente économique )
Pinnochio :
Juste
derrière Poutine se trouve Pinnochio – une marionnette dont le nez
grandit après avoir dit un mensonge (Fait amusant : Le conte de
Pinocchio est aussi une profonde allégorie maçonnique). La couverture
implique donc que quelqu’un mentira en 2019. Mais qui ? Trump ou Putin ?
L’élite en général ? Pas de réponse claire.
( Note ExoPortail
: Cela peut aussi être un message que la Cabale, l’élite, considère
Poutine comme un menteur et qu’ils ne lui font pas confiance. )
Les 4 Cavaliers de l’Apocalypse :
Debout
sur l’Europe du Nord et face à l’Amérique, se trouvent nul autre que
les Quatre Cavaliers de l’Apocalypse. L’Apocalypse décrit le Cavalier
comme le présage du Jugement dernier. On dit que le cheval blanc
symbolise la conquête, la peste et la venue de l’Anti-Christ ; le cheval
rouge représente la guerre ; le cheval noir est associé à la famine, et
le cheval pâle à la mort. C’est un truc lourd pour prédire les
catastrophes.
Pourquoi «The
Economist» a-t-il ajouté cette figure biblique extrêmement inquiétante
sur sa couverture ? Il n’y a pas d’explication claire.
Cigogne :
Celle-ci
peut être interprétée de plusieurs façons, et toutes sont
bouleversantes. Il s’agit d’une représentation classique d’une cigogne
portant un nouveau-né. Cependant, il y a un détail important : Il y a un
code-barres sur le sac portant un bébé.
Il
pourrait s’agir d’une référence à la création artificielle d’enfants,
une pratique polémique qui devrait prendre de l’ampleur en 2019.
La
deuxième signification de cette image pourrait être le trafic
d’enfants. Des codes à barres sont placés sur les produits pour suivre
l’inventaire et compléter les transactions. La traite des enfants
consiste à traiter les êtres humains comme des produits destinés à la
vente. C’est une façon assez efficace (et troublante) de symboliser la
traite des enfants.
Autres images :
La
couverture contient plusieurs autres images faisant référence à des
événements que The Economist prévoit pour 2019. Voici un bref
récapitulatif.
- En haut de la couverture, une flèche pointe de la machine volante de Vinci vers la lune. Il pourrait s’agir d’une référence aux nombreuses entreprises privées qui ont l’intention de voyager sur la lune en 2019. Il convient également de noter que nous voyons le croissant de lune sur la couverture, le principal symbole associé à l’islam.
- Il y a une autre «machine volante» (une vraie) sous les mots « New Horizons of Ultimate Thule ». Il s’agit du vaisseau spatial New Horizons de la NASA qui se rapproche de ce mystérieux et lointain objet qu’est « Ultima Thule » le jour de l’An.
- Sous la lune se trouve un volcan. Est-ce qu’on s’attend à ce qu’un autre volcan entre en éruption bientôt ?
- En bas à gauche (debout sur le Brésil) se trouve un pangolin, qui est le mammifère victime du trafic sur terre. Elle est menacée d’extinction.
- 2019 sera le 150e anniversaire de la naissance de Gandhi ; c’est aussi le 200e anniversaire de la naissance de Walt Whitman (montré sous Pinnochio).
- Angelina Jolie est le visage de Mona Lisa – le chef-d’œuvre de da Vinci. En haut de la couverture, nous voyons « Angelina Jolie : Répondre aux besoins des réfugiés « . Elle pourrait être utilisée pour promouvoir le nouveau « Pacte de l’Migration » de l’ONU. En effet, Angelina Jolie est actuellement l’Envoyée spéciale du HCR, l’Agence des Nations Unies pour les réfugiés. Elle se concentre sur » les crises majeures qui entraînent des déplacements massifs de population, mène des activités de « sensibilisation » et représente le HCR et le Haut Commissaire sur le plan diplomatique « .
En conclusion :
La
couverture de «The World in 2019» est un bon miroir de l’élite occulte.
Il mélange le symbolisme occulte avec des références au contrôle et à
la manipulation des masses. Il faut aussi un certain plaisir à prédire
les événements catastrophiques tout en laissant les gens dans le flou.
L’élite aime retenir l’information et l’écriture inversée souligne ce
fait.
Au centre de tout cela se trouve l’homme de Vitruve, un symbole utilisé par les maçons pour représenter un être humain atteignant son plein potentiel. Cependant, la version 2019 est aveuglée et distraite par les choses poussées par l’élite. Allons-nous nous les permettre de continuer sur la voie sombre vers laquelle ils poussent ? Non !
Ajouts :
Source : https://vigilantcitizen.com/vigilantreport/the-economists-the-world-in-2019-is-full-of-cryptic-messages/Traduction et Ajouts : ExoPortail
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